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21 décembre 2013 6 21 /12 /décembre /2013 19:46

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Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques, ci-dessus une huile sur carton d'Odilon Redon "Le soleil noir" exposée au Muséum of Modern Art de New York. On peut admirer aussi, au Musée d'Orsay un certain nombre d'oeuvres de l'artiste dont "Le Bouddha" "Le Char d'Apollon" "Les yeux clos" et de nombreux pastels et fusains.Ces dessins traités en noir et blanc,par l'atmosphère angoissante qu'ils dégagent ont sans aucun doute inspirés des artistes comme Topor, le film d'animation, tourné en collaboration avec René Laloux "La planète Sauvage" me semble explorer les mêmes mondes irréels.

 

Odilon Redon 1840-1916 n'est pas de ces artiste qu'on peut classer dans une catégorie particulière, bien que contemporain des impressionnistes et des symbolistes il a pu , parfois, récupérer l'amour de la couleur chez les uns et la recherche de l'allégorie chez les autres il demeure malgré tout inclassable ne serait ce que par l'apparence, loin des clichés du rapin chevelu, barbu et provocateur, issu de la bougeoisie il  en respectait les codes vestimentaires ( l'habit ne faisant pas le moine le culte de la crasse n'octroie pas automatiquement le génie...)

 

Redon est le type même du rêveur aux yeux clos, ses créations troublantes, énigmatiques en témoignent.Après une période durant laquelle abondent les noirs il s'adonne à la couleur en virtuose agissant comme un précurseur de la peinture abstraite, ses savants dégradés sont proches des coloris sublimes de Zao Wou-Ki. Artiste hors norme il a hanté des mondes qu'il était le seul à parcourir, loin ses chemins battus des conventions, surtout ceux de l'anticonformisme institutionnel.

 

Film singulier diffusé sur la chaine Arte en début de semaine "Buffet froid" réalisé par Bertrand Blier, sorti en 1979, il n'a connu alors qu'une carrière confidentielle, certains spectateurs, désarçonnés n'hésitant pas à réclamer le remboursement de leur billet d'entrée (le même phénomène s'est produit lors de la sortie de "The Artist " puisque scandalisés d'avoir visionné un film muet et en noir et blanc,alors qu'ils étaient avertis,certains dans différents pays ont exigé d'ètre remboursés) cette comédie dramatique flirte allégrement avec un humour noir et grinçant qui peut indisposer des natures plus prosaïques.

 

Il est vrai qu'il y a un peu de Bunuel dans ce film, et peut-ètre aussi du Godard d'Alphaville. Alphonse Tram, chômeur (Gérard Depardieu) rencontre sur un quai désert du RER, à la Défense, un comptable (Michel Serrault) et tente de lier connaissance en lui posant des questions totalement incongrues.Agacé le comptable change de place à plusieurs reprises, Alphonse insiste lourdement et finalement un dialogue s'engage malgré tout. Alphonse exhibe le couteau à cran d'arrêt qui l'accompagne en permanence, le comptable le met en garde contre le danger que représente cette lame.Le métro entre dans la station, le comptable monte dans  un wagon et disparait.

 

Errant dans les couloirs du métro Alphonse découvre le comptable grièvement blessé, gisant sur le sol avec fiché dans le ventre son couteau,il récupère l'arme et rejoint son domicile, un appartement dans une des tours de la Défense en phase de construction,il fait le récit de sa journée à son épouse qui s'affaire dans la cuisine.Plus tard il rencontre le locataire du dessus, l'inspecteur Morvandiaux auquel il avoue ètre un assassin, curieusement ce dernier lui déclare qu'il ne s'intéresse aux meurtres que lorsqu'il est de service !

 

Le lendemain Alphonse constate que sa femme a disparu, on la retrouve étranglée dans un terrain vague, son assassin est un paranoïaque froussard (Jean Carmet) qui se rend chez Alphonse pour lui indiquer que l'asssassin de sa femme c'est lui! Alphonse ne s'en formalise pas, tous deux trinquent, entre alors l'inspecteur Morvandiaux qui, mis au courant n'est nullement scandalisé, puisque n'étant pas de service.

 

Alphonse doit accompagner l'assassin de son épouse à son domicile, car celui çi, extrêmement peureux trouve dangereux de marcher seul , la nuit,dans les rues désertes.Un homme étrange se présente au domicile de Tram: il l'accuse d'avoir tué le comptable et lui propose un contrat :tuer un homme dans un parking.Alphonse, le tueur de femmes et Morvandiaux s' y rendent et oh surprise l'homme à abattre n'est autre que celui qui a commandité le meurtre: exécution immédiate. Le veuve se présente peu après chez Alphonse et prend la place, illico, presto et sans état d'âme de la défunte épouse. Il s'avère que c'est une nymphomane frénétique, le médecin de garde appelé pour une migraine se laissera convaincre facilement et sans réchignenr.

 

Le trio toujours inséparble se retrouve à la campagne dans une maison suintante d'humidité, à l'orée d'un bois,ennui général, vient la discorde, le tueur de femmes en fait les frais le premier et trépasse, Morvandiaux et Alphonse se retrouvent dans une barque, l'inspecteur venant d'avouer qu'il ne sait pas nager, aussitôt Alphonse le pousse à l'eau.

 

Peu de temps après Alphonse accueille une jeune femme ( Carole Bouquet) à bord de la barque et rapidement elle l'informe de la raison pour laquelle elle se trouve en ce lieu perdu : elle n'est autre que la fille du comptable tué au couteau dans un couloir du métro, elle sort un pistolet, l'arme, tire,Alphonse s'écroule :mort ! la boucle est bouclée retour au point de départ de cette odyssée digne d'Ionescoou Beckett.

 

Lecture de la savoureuse chronique paraissant sur le site du " Point" C'est arrivé aujourdh'ui,qu'est-il arrivé il y 10 ans,?100ans ?,1000 ans?


Le 20 Décembre 1972 Nando et Roberto deux des survivants de l'équipe uruguayenne de rugby de Montévidéo dont l'avion s'était crashé dans les Andes, le 13 Octobre, parviennent dans la vallée et apercoivent 3 cavaliers,ils entrent en contact avec eux leur indiquant qu'ils sont des rescapés d'une catastrophe aérienne, stupeur des paysans! on les croyaient disparus à jamais.Rapidement les secours interviennent et des hélicoptères sont envoyés sur les lieux.

 

Les deux rescapés ont parcouru 110 kms en 10 jours dans la montagne dans des conditions extrêmes, sans aucun équipement ni vêtements chauds, les températures descendent  la deuxième nuit de leur  départ à -30 °C.

 

Le 13 Octobre leur avion s'était envolé en direction de Santiago du Chili, il y a 40 passagers à bord. Pris dans une bourrasque de vent l'appareil heurte un pic, perd une aile puis l'autre, la carlingue glisse dans la neige et s'immobilise. La disparition de l'avion une fois connue les secours survolent la zone présumée mais la carlingue étant de couleur blanche l'appareil n'est pas repéré, quelques jours après de vaines recherches Les investigations sont abandonnées.

 

Bilan du crash : 12 morts dont le pilote et le copilote.Il n'y a bord que quelques friandises et barres chocolatées, et rapidement la faim se fait sentir. Malgré des scrupules humains et religieux longtemps débattus ils décident de se nourrir de la chair des morts pour pouvoir survivre, un couple refuse cette option et se laissera mourir de faim.

 

Nouveau désastre:le 29 Octobre une terrible tempête de neige englotit l'appareil sous plusieurs mètres de neige et c'est à grand peine que les naufragés parviennent à dégager cette masse neigeuse.

 

Les recapés , culpabilisés,vont assez longtemps taire leurs conditions de survie pour ensuite passer aux aveux. L'affaire aura un tel retentissement que même le pape devra prendre parti en les disculpant de péché mortel...

 


 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Don Quichotte (blessé) : Sancho pansa

 

L'homme invisible : ne le perdez pas de vue.

 

Naviguateur (prétentieux) : c'est un mat tu vu.

 

Vous êtes pour le mariage gay ? : je vous prend hommo !

 

Tennisman (obsédé) : il rêve de la coupe des vices.

 

 

MERCI DE ME FAIRE PART DE VOS REMARQUES


 



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21 décembre 2013 6 21 /12 /décembre /2013 19:45

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Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques, ci-dessus une huile sur carton d'Odilon Redon "Le soleil noir" exposée au Muséum of Modern Art de New York. On peut admirer aussi, au Musée d'Orsay un certain nombre d'oeuvres de l'artiste dont "Le Bouddha" "Le Char d'Apollon" "Les yeux clos" et de nombreux pastels et fusains.Ces dessins traités en noir et blanc,par l'atmosphère angoissante qu'ils dégagent ont sans aucun doute inspirés des artistes comme Topor, le film d'animation, tourné en collaboration avec René Laloux "La planète Sauvage" me semble explorer les mêmes mondes irréels.

 

Odilon Redon 1840-1916 n'est pas de ces artiste qu'on peut classer dans une catégorie particulière, bien que contemporain des impressionnistes et des symbolistes il a pu , parfois, récupérer l'amour de la couleur chez les uns et la recherche de l'allégorie chez les autres il demeure malgré tout inclassable ne serait ce que par l'apparence, loin des clichés du rapin chevelu, barbu et provocateur, issu de la bougeoisie il  en respectait les codes vestimentaires ( l'habit ne faisant pas le moine le culte de la crasse n'octroie pas automatiquement le génie...)

 

Redon est le type même du rêveur aux yeux clos, ses créations troublantes, énigmatiques en témoignent.Après une période durant laquelle abondent les noirs il s'adonne à la couleur en virtuose agissant comme un précurseur de la peinture abstraite, ses savants dégradés sont proches des coloris sublimes de Zao Wou-Ki. Artiste hors norme il a hanté des mondes qu'il était le seul à parcourir, loin ses chemins battus des conventions, surtout ceux de l'anticonformisme institutionnel.

 

Film singulier diffusé sur la chaine Arte en début de semaine "Buffet froid" réalisé par Bertrand Blier, sorti en 1979, il n'a connu alors qu'une carrière confidentielle, certains spectateurs, désarçonnés n'hésitant pas à réclamer le remboursement de leur billet d'entrée (le même phénomène s'est produit lors de la sortie de "The Artist " puisque scandalisés d'avoir visionné un film muet et en noir et blanc,alors qu'ils étaient avertis,certains dans différents pays ont exigé d'ètre remboursés) cette comédie dramatique flirte allégrement avec un humour noir et grinçant qui peut indisposer des natures plus prosaïques.

 

Il est vrai qu'il y a un peu de Bunuel dans ce film, et peut-ètre aussi du Godard d'Alphaville. Alphonse Tram, chômeur (Gérard Depardieu) rencontre sur un quai désert du RER, à la Défense, un comptable (Michel Serrault) et tente de lier connaissance en lui posant des questions totalement incongrues.Agacé le comptable change de place à plusieurs reprises, Alphonse insiste lourdement et finalement un dialogue s'engage malgré tout. Alphonse exhibe le couteau à cran d'arrêt qui l'accompagne en permanence, le comptable le met en garde contre le danger que représente cette lame.Le métro entre dans la station, le comptable monte dans  un wagon et disparait.

 

Errant dans les couloirs du métro Alphonse découvre le comptable grièvement blessé, gisant sur le sol avec fiché dans le ventre son couteau,il récupère l'arme et rejoint son domicile, un appartement dans une des tours de la Défense en phase de construction,il fait le récit de sa journée à son épouse qui s'affaire dans la cuisine.Plus tard il rencontre le locataire du dessus, l'inspecteur Morvandiaux auquel il avoue ètre un assassin, curieusement ce dernier lui déclare qu'il ne s'intéresse aux meurtres que lorsqu'il est de service !

 

Le lendemain Alphonse constate que sa femme a disparu, on la retrouve étranglée dans un terrain vague, son assassin est un paranoïaque froussard (Jean Carmet) qui se rend chez Alphonse pour lui indiquer que l'asssassin de sa femme c'est lui! Alphonse ne s'en formalise pas, tous deux trinquent, entre alors l'inspecteur Morvandiaux qui, mis au courant n'est nullement scandalisé, puisque n'étant pas de service.

 

Alphonse doit accompagner l'assassin de son épouse à son domicile, car celui çi, extrêmement peureux trouve dangereux de marcher seul , la nuit,dans les rues désertes.Un homme étrange se présente au domicile de Tram: il l'accuse d'avoir tué le comptable et lui propose un contrat :tuer un homme dans un parking.Alphonse, le tueur de femmes et Morvandiaux s' y rendent et oh surprise l'homme à abattre n'est autre que celui qui a commandité le meurtre: exécution immédiate. Le veuve se présente peu après chez Alphonse et prend la place, illico, presto et sans état d'âme de la défunte épouse. Il s'avère que c'est une nymphomane frénétique, le médecin de garde appelé pour une migraine se laissera convaincre facilement et sans réchignenr.

 

Le trio toujours inséparble se retrouve à la campagne dans une maison suintante d'humidité, à l'orée d'un bois,ennui général, vient la discorde, le tueur de femmes en fait les frais le premier et trépasse, Morvandiaux et Alphonse se retrouvent dans une barque, l'inspecteur venant d'avouer qu'il ne sait pas nager, aussitôt Alphonse le pousse à l'eau.

 

Peu de temps après Alphonse accueille une jeune femme ( Carole Bouquet) à bord de la barque et rapidement elle l'informe de la raison pour laquelle elle se trouve en ce lieu perdu : elle n'est autre que la fille du comptable tué au couteau dans un couloir du métro, elle sort un pistolet, l'arme, tire,Alphonse s'écroule :mort ! la boucle est bouclée retour au point de départ de cette odyssée digne d'Ionescoou Beckett.

 

Lecture de la savoureuse chronique paraissant sur le site du " Point" C'est arrivé aujourdh'ui,qu'est-il arrivé il y 10 ans,?100ans ?,1000 ans?


Le 20 Décembre 1972 Nando et Roberto deux des survivants de l'équipe uruguayenne de rugby de Montévidéo dont l'avion s'était crashé dans les Andes, le 13 Octobre, parviennent dans la vallée et apercoivent 3 cavaliers,ils entrent en contact avec eux leur indiquant qu'ils sont des rescapés d'une catastrophe aérienne, stupeur des paysans! on les croyaient disparus à jamais.Rapidement les secours interviennent et des hélicoptères sont envoyés sur les lieux.

 

Les deux rescapés ont parcouru 110 kms en 10 jours dans la montagne dans des conditions extrêmes, sans aucun équipement ni vêtements chauds, les températures descendent  la deuxième nuit de leur  départ à -30 °C.

 

Le 13 Octobre leur avion s'était envolé en direction de Santiago du Chili, il y a 40 passagers à bord. Pris dans une bourrasque de vent l'appareil heurte un pic, perd une aile puis l'autre, la carlingue glisse dans la neige et s'immobilise. La disparition de l'avion une fois connue les secours survolent la zone présumée mais la carlingue étant de couleur blanche l'appareil n'est pas repéré, quelques jours après de vaines recherches Les investigations sont abandonnées.

 

Bilan du crash : 12 morts dont le pilote et le copilote.Il n'y a bord que quelques friandises et barres chocolatées, et rapidement la faim se fait sentir. Malgré des scrupules humains et religieux longtemps débattus ils décident de se nourrir de la chair des morts pour pouvoir survivre, un couple refuse cette option et se laissera mourir de faim.

 

Nouveau désastre:le 29 Octobre une terrible tempête de neige englotit l'appareil sous plusieurs mètres de neige et c'est à grand peine que les naufragés parviennent à dégager cette masse neigeuse.

 

Les recapés , culpabilisés,vont assez longtemps taire leurs conditions de survie pour ensuite passer aux aveux. L'affaire aura un tel retentissement que même le pape devra prendre parti en les disculpant de péché mortel...

 


 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Don Quichotte (blessé) : Sancho pansa

 

L'homme invisible : ne le perdez pas de vue.

 

Naviguateur (prétentieux) : c'est un mat tu vu.

 

Vous êtes pour le mariage gay ? : je vous prend hommo !

 

Tennisman (obsédé) : il rêve de la coupe des vices.

 

 

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21 décembre 2013 6 21 /12 /décembre /2013 19:44

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Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques, ci-dessus une huile sur carton d'Odilon Redon "Le soleil noir" exposée au Muséum of Modern Art de New York. On peut admirer aussi, au Musée d'Orsay un certain nombre d'oeuvres de l'artiste dont "Le Bouddha" "Le Char d'Apollon" "Les yeux clos" et de nombreux pastels et fusains.Ces dessins traités en noir et blanc,par l'atmosphère angoissante qu'ils dégagent ont sans aucun doute inspirés des artistes comme Topor, le film d'animation, tourné en collaboration avec René Laloux "La planète Sauvage" me semble explorer les mêmes mondes irréels.

 

Odilon Redon 1840-1916 n'est pas de ces artiste qu'on peut classer dans une catégorie particulière, bien que contemporain des impressionnistes et des symbolistes il a pu , parfois, récupérer l'amour de la couleur chez les uns et la recherche de l'allégorie chez les autres il demeure malgré tout inclassable ne serait ce que par l'apparence, loin des clichés du rapin chevelu, barbu et provocateur, issu de la bougeoisie il  en respectait les codes vestimentaires ( l'habit ne faisant pas le moine le culte de la crasse n'octroie pas automatiquement le génie...)

 

Redon est le type même du rêveur aux yeux clos, ses créations troublantes, énigmatiques en témoignent.Après une période durant laquelle abondent les noirs il s'adonne à la couleur en virtuose agissant comme un précurseur de la peinture abstraite, ses savants dégradés sont proches des coloris sublimes de Zao Wou-Ki. Artiste hors norme il a hanté des mondes qu'il était le seul à parcourir, loin ses chemins battus des conventions, surtout ceux de l'anticonformisme institutionnel.

 

Film singulier diffusé sur la chaine Arte en début de semaine "Buffet froid" réalisé par Bertrand Blier, sorti en 1979, il n'a connu alors qu'une carrière confidentielle, certains spectateurs, désarçonnés n'hésitant pas à réclamer le remboursement de leur billet d'entrée (le même phénomène s'est produit lors de la sortie de "The Artist " puisque scandalisés d'avoir visionné un film muet et en noir et blanc,alors qu'ils étaient avertis,certains dans différents pays ont exigé d'ètre remboursés) cette comédie dramatique flirte allégrement avec un humour noir et grinçant qui peut indisposer des natures plus prosaïques.

 

Il est vrai qu'il y a un peu de Bunuel dans ce film, et peut-ètre aussi du Godard d'Alphaville. Alphonse Tram, chômeur (Gérard Depardieu) rencontre sur un quai désert du RER, à la Défense, un comptable (Michel Serrault) et tente de lier connaissance en lui posant des questions totalement incongrues.Agacé le comptable change de place à plusieurs reprises, Alphonse insiste lourdement et finalement un dialogue s'engage malgré tout. Alphonse exhibe le couteau à cran d'arrêt qui l'accompagne en permanence, le comptable le met en garde contre le danger que représente cette lame.Le métro entre dans la station, le comptable monte dans  un wagon et disparait.

 

Errant dans les couloirs du métro Alphonse découvre le comptable grièvement blessé, gisant sur le sol avec fiché dans le ventre son couteau,il récupère l'arme et rejoint son domicile, un appartement dans une des tours de la Défense en phase de construction,il fait le récit de sa journée à son épouse qui s'affaire dans la cuisine.Plus tard il rencontre le locataire du dessus, l'inspecteur Morvandiaux auquel il avoue ètre un assassin, curieusement ce dernier lui déclare qu'il ne s'intéresse aux meurtres que lorsqu'il est de service !

 

Le lendemain Alphonse constate que sa femme a disparu, on la retrouve étranglée dans un terrain vague, son assassin est un paranoïaque froussard (Jean Carmet) qui se rend chez Alphonse pour lui indiquer que l'asssassin de sa femme c'est lui! Alphonse ne s'en formalise pas, tous deux trinquent, entre alors l'inspecteur Morvandiaux qui, mis au courant n'est nullement scandalisé, puisque n'étant pas de service.

 

Alphonse doit accompagner l'assassin de son épouse à son domicile, car celui çi, extrêmement peureux trouve dangereux de marcher seul , la nuit,dans les rues désertes.Un homme étrange se présente au domicile de Tram: il l'accuse d'avoir tué le comptable et lui propose un contrat :tuer un homme dans un parking.Alphonse, le tueur de femmes et Morvandiaux s' y rendent et oh surprise l'homme à abattre n'est autre que celui qui a commandité le meurtre: exécution immédiate. Le veuve se présente peu après chez Alphonse et prend la place, illico, presto et sans état d'âme de la défunte épouse. Il s'avère que c'est une nymphomane frénétique, le médecin de garde appelé pour une migraine se laissera convaincre facilement et sans réchignenr.

 

Le trio toujours inséparble se retrouve à la campagne dans une maison suintante d'humidité, à l'orée d'un bois,ennui général, vient la discorde, le tueur de femmes en fait les frais le premier et trépasse, Morvandiaux et Alphonse se retrouvent dans une barque, l'inspecteur venant d'avouer qu'il ne sait pas nager, aussitôt Alphonse le pousse à l'eau.

 

Peu de temps après Alphonse accueille une jeune femme ( Carole Bouquet) à bord de la barque et rapidement elle l'informe de la raison pour laquelle elle se trouve en ce lieu perdu : elle n'est autre que la fille du comptable tué au couteau dans un couloir du métro, elle sort un pistolet, l'arme, tire,Alphonse s'écroule :mort ! la boucle est bouclée retour au point de départ de cette odyssée digne d'Ionescoou Beckett.

 

Lecture de la savoureuse chronique paraissant sur le site du " Point" C'est arrivé aujourdh'ui,qu'est-il arrivé il y 10 ans,?100ans ?,1000 ans?


Le 20 Décembre 1972 Nando et Roberto deux des survivants de l'équipe uruguayenne de rugby de Montévidéo dont l'avion s'était crashé dans les Andes, le 13 Octobre, parviennent dans la vallée et apercoivent 3 cavaliers,ils entrent en contact avec eux leur indiquant qu'ils sont des rescapés d'une catastrophe aérienne, stupeur des paysans! on les croyaient disparus à jamais.Rapidement les secours interviennent et des hélicoptères sont envoyés sur les lieux.

 

Les deux rescapés ont parcouru 110 kms en 10 jours dans la montagne dans des conditions extrêmes, sans aucun équipement ni vêtements chauds, les températures descendent  la deuxième nuit de leur  départ à -30 °C.

 

Le 13 Octobre leur avion s'était envolé en direction de Santiago du Chili, il y a 40 passagers à bord. Pris dans une bourrasque de vent l'appareil heurte un pic, perd une aile puis l'autre, la carlingue glisse dans la neige et s'immobilise. La disparition de l'avion une fois connue les secours survolent la zone présumée mais la carlingue étant de couleur blanche l'appareil n'est pas repéré, quelques jours après de vaines recherches Les investigations sont abandonnées.

 

Bilan du crash : 12 morts dont le pilote et le copilote.Il n'y a bord que quelques friandises et barres chocolatées, et rapidement la faim se fait sentir. Malgré des scrupules humains et religieux longtemps débattus ils décident de se nourrir de la chair des morts pour pouvoir survivre, un couple refuse cette option et se laissera mourir de faim.

 

Nouveau désastre:le 29 Octobre une terrible tempête de neige englotit l'appareil sous plusieurs mètres de neige et c'est à grand peine que les naufragés parviennent à dégager cette masse neigeuse.

 

Les recapés , culpabilisés,vont assez longtemps taire leurs conditions de survie pour ensuite passer aux aveux. L'affaire aura un tel retentissement que même le pape devra prendre parti en les disculpant de péché mortel...

 


 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Don Quichotte (blessé) : Sancho pansa

 

L'homme invisible : ne le perdez pas de vue.

 

Naviguateur (prétentieux) : c'est un mat tu vu.

 

Vous êtes pour le mariage gay ? : je vous prend hommo !

 

Tennisman (obsédé) : il rêve de la coupe des vices.

 

 

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21 décembre 2013 6 21 /12 /décembre /2013 19:43

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Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques, ci-dessus une huile sur carton d'Odilon Redon "Le soleil noir" exposée au Muséum of Modern Art de New York. On peut admirer aussi, au Musée d'Orsay un certain nombre d'oeuvres de l'artiste dont "Le Bouddha" "Le Char d'Apollon" "Les yeux clos" et de nombreux pastels et fusains.Ces dessins traités en noir et blanc,par l'atmosphère angoissante qu'ils dégagent ont sans aucun doute inspirés des artistes comme Topor, le film d'animation, tourné en collaboration avec René Laloux "La planète Sauvage" me semble explorer les mêmes mondes irréels.

 

Odilon Redon 1840-1916 n'est pas de ces artiste qu'on peut classer dans une catégorie particulière, bien que contemporain des impressionnistes et des symbolistes il a pu , parfois, récupérer l'amour de la couleur chez les uns et la recherche de l'allégorie chez les autres il demeure malgré tout inclassable ne serait ce que par l'apparence, loin des clichés du rapin chevelu, barbu et provocateur, issu de la bougeoisie il  en respectait les codes vestimentaires ( l'habit ne faisant pas le moine le culte de la crasse n'octroie pas automatiquement le génie...)

 

Redon est le type même du rêveur aux yeux clos, ses créations troublantes, énigmatiques en témoignent.Après une période durant laquelle abondent les noirs il s'adonne à la couleur en virtuose agissant comme un précurseur de la peinture abstraite, ses savants dégradés sont proches des coloris sublimes de Zao Wou-Ki. Artiste hors norme il a hanté des mondes qu'il était le seul à parcourir, loin ses chemins battus des conventions, surtout ceux de l'anticonformisme institutionnel.

 

Film singulier diffusé sur la chaine Arte en début de semaine "Buffet froid" réalisé par Bertrand Blier, sorti en 1979, il n'a connu alors qu'une carrière confidentielle, certains spectateurs, désarçonnés n'hésitant pas à réclamer le remboursement de leur billet d'entrée (le même phénomène s'est produit lors de la sortie de "The Artist " puisque scandalisés d'avoir visionné un film muet et en noir et blanc,alors qu'ils étaient avertis,certains dans différents pays ont exigé d'ètre remboursés) cette comédie dramatique flirte allégrement avec un humour noir et grinçant qui peut indisposer des natures plus prosaïques.

 

Il est vrai qu'il y a un peu de Bunuel dans ce film, et peut-ètre aussi du Godard d'Alphaville. Alphonse Tram, chômeur (Gérard Depardieu) rencontre sur un quai désert du RER, à la Défense, un comptable (Michel Serrault) et tente de lier connaissance en lui posant des questions totalement incongrues.Agacé le comptable change de place à plusieurs reprises, Alphonse insiste lourdement et finalement un dialogue s'engage malgré tout. Alphonse exhibe le couteau à cran d'arrêt qui l'accompagne en permanence, le comptable le met en garde contre le danger que représente cette lame.Le métro entre dans la station, le comptable monte dans  un wagon et disparait.

 

Errant dans les couloirs du métro Alphonse découvre le comptable grièvement blessé, gisant sur le sol avec fiché dans le ventre son couteau,il récupère l'arme et rejoint son domicile, un appartement dans une des tours de la Défense en phase de construction,il fait le récit de sa journée à son épouse qui s'affaire dans la cuisine.Plus tard il rencontre le locataire du dessus, l'inspecteur Morvandiaux auquel il avoue ètre un assassin, curieusement ce dernier lui déclare qu'il ne s'intéresse aux meurtres que lorsqu'il est de service !

 

Le lendemain Alphonse constate que sa femme a disparu, on la retrouve étranglée dans un terrain vague, son assassin est un paranoïaque froussard (Jean Carmet) qui se rend chez Alphonse pour lui indiquer que l'asssassin de sa femme c'est lui! Alphonse ne s'en formalise pas, tous deux trinquent, entre alors l'inspecteur Morvandiaux qui, mis au courant n'est nullement scandalisé, puisque n'étant pas de service.

 

Alphonse doit accompagner l'assassin de son épouse à son domicile, car celui çi, extrêmement peureux trouve dangereux de marcher seul , la nuit,dans les rues désertes.Un homme étrange se présente au domicile de Tram: il l'accuse d'avoir tué le comptable et lui propose un contrat :tuer un homme dans un parking.Alphonse, le tueur de femmes et Morvandiaux s' y rendent et oh surprise l'homme à abattre n'est autre que celui qui a commandité le meurtre: exécution immédiate. Le veuve se présente peu après chez Alphonse et prend la place, illico, presto et sans état d'âme de la défunte épouse. Il s'avère que c'est une nymphomane frénétique, le médecin de garde appelé pour une migraine se laissera convaincre facilement et sans réchignenr.

 

Le trio toujours inséparble se retrouve à la campagne dans une maison suintante d'humidité, à l'orée d'un bois,ennui général, vient la discorde, le tueur de femmes en fait les frais le premier et trépasse, Morvandiaux et Alphonse se retrouvent dans une barque, l'inspecteur venant d'avouer qu'il ne sait pas nager, aussitôt Alphonse le pousse à l'eau.

 

Peu de temps après Alphonse accueille une jeune femme ( Carole Bouquet) à bord de la barque et rapidement elle l'informe de la raison pour laquelle elle se trouve en ce lieu perdu : elle n'est autre que la fille du comptable tué au couteau dans un couloir du métro, elle sort un pistolet, l'arme, tire,Alphonse s'écroule :mort ! la boucle est bouclée retour au point de départ de cette odyssée digne d'Ionescoou Beckett.

 

Lecture de la savoureuse chronique paraissant sur le site du " Point" C'est arrivé aujourdh'ui,qu'est-il arrivé il y 10 ans,?100ans ?,1000 ans?


Le 20 Décembre 1972 Nando et Roberto deux des survivants de l'équipe uruguayenne de rugby de Montévidéo dont l'avion s'était crashé dans les Andes, le 13 Octobre, parviennent dans la vallée et apercoivent 3 cavaliers,ils entrent en contact avec eux leur indiquant qu'ils sont des rescapés d'une catastrophe aérienne, stupeur des paysans! on les croyaient disparus à jamais.Rapidement les secours interviennent et des hélicoptères sont envoyés sur les lieux.

 

Les deux rescapés ont parcouru 110 kms en 10 jours dans la montagne dans des conditions extrêmes, sans aucun équipement ni vêtements chauds, les températures descendent  la deuxième nuit de leur  départ à -30 °C.

 

Le 13 Octobre leur avion s'était envolé en direction de Santiago du Chili, il y a 40 passagers à bord. Pris dans une bourrasque de vent l'appareil heurte un pic, perd une aile puis l'autre, la carlingue glisse dans la neige et s'immobilise. La disparition de l'avion une fois connue les secours survolent la zone présumée mais la carlingue étant de couleur blanche l'appareil n'est pas repéré, quelques jours après de vaines recherches Les investigations sont abandonnées.

 

Bilan du crash : 12 morts dont le pilote et le copilote.Il n'y a bord que quelques friandises et barres chocolatées, et rapidement la faim se fait sentir. Malgré des scrupules humains et religieux longtemps débattus ils décident de se nourrir de la chair des morts pour pouvoir survivre, un couple refuse cette option et se laissera mourir de faim.

 

Nouveau désastre:le 29 Octobre une terrible tempête de neige englotit l'appareil sous plusieurs mètres de neige et c'est à grand peine que les naufragés parviennent à dégager cette masse neigeuse.

 

Les recapés , culpabilisés,vont assez longtemps taire leurs conditions de survie pour ensuite passer aux aveux. L'affaire aura un tel retentissement que même le pape devra prendre parti en les disculpant de péché mortel...

 


 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Don Quichotte (blessé) : Sancho pansa

 

L'homme invisible : ne le perdez pas de vue.

 

Naviguateur (prétentieux) : c'est un mat tu vu.

 

Vous êtes pour le mariage gay ? : je vous prend hommo !

 

Tennisman (obsédé) : il rêve de la coupe des vices.

 

 

MERCI DE ME FAIRE PART DE VOS REMARQUES


 



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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 11:44

CIMG3434

 

Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques, ci-dessus un triptyque de Sophie Ladame qui expose actuellement (jusqu'au 5 Janvier 2014) à la Chapelle Saint Sauveur, au coeur de l'intra muros de Saint Malo. Dans ce lieu magnifique l'artiste présente une série d'oeuvres de diiférents format, également sur différents supports.L'utilisation du papier kraft comme appui de plusieurs gouaches apporte un aspect inattendu à ses réalisations.


Sophie Ladame se définit elle même une artiste voyageuse, et c'est une navigatrice chevronnée puisqu'elle a passé avec succès son brevet de Capitaine 200. Elle a exercé son talent jusqu'aux antipodes en rapportant des dessins de son séjour en Nouvelle Zélande en côtoyant la communauté Maori. Bourlingueuse aguerrie  elle a promené palette et crayons du Tchad à Madagascar en passant par la Jordanie, le Vietman et la Birmanie sans oublier Cuba.

 

Comme on peut le remarquer sur la photographie ci-dessus elle représente à merveille voiles et cordages on ressent presque le souffle des vents emporter les vieux gréments vers des horizons lointains. Pour autant elle n'oublie pas de représenter dans ces toiles et dessins  tous ces personnes qu'elle a rencontré durant ses périples, un peu comme l'a fait Titouan Lamazou lui aussi artiste et navigateur.

 

Sophie Ladame (quel beau nom..) expose ses oeuvres jusqu'au 5 Janvier 2014 à la Chapelle Saint Sauveur. Une visite à ne pas manquer.

 

Plongée d'une durée de 2 heures 41 dans le monde fantastique de l'héroic Fantasy, magnifié par Peter Jackson: Le Hobbit , la désolation de Smaug , film épique qui connaitra en Juillet 2014 une suite et fin avec "Histoire d'un aller et retour"

Procédant comme de coutume après avoir visionné le film concerné j'ai donc consulté les critiques et comme de coutume les verdicts correspondent à mes attentes: Film  Actu et Figaroscope accordent 5* l'Express 4* le Monde, l'Express et le Point accouchent de 3* et comme prévu "Les Inrockuptibles" concède avec réticence une minuscule * .

Par contre en décortiquant les critiques du public on s'aperçoit qu'en regroupant les 5 *les 4 * et les 3 * on atteint un pourcentage de 86% de spectateurs ayant une très bonne opinion du film.Finalement le public (payant) n'est-il pas le seul juge important, puisque c'est lui qui remplit ou déserte les salles ? le bilan catastrophique de plusieurs films Français en cette année 2013 montre à l'évidence qu'on ne peut faire boire un âne qui n'a pas soif....


Le critique de service du"Nouel Obs ciné"Guillaume Loison en rajoute un petit dernier pour la route et il frappe fort ,extrait: le film demeure globalement dévitalisé, pénible et interminable ! comme on aimerait lire un tel commentaire concernant un de ces films primés qui font se pâmer les bonnes âmes d'avant-garde,du genre :un vieillard atteint d'une maladie incurable est veillé jour et nuit par sa fille, hâve et décharnée, et tandis qu'il agonise il évoque les années passées (misère, violence,faim,révolte, répression, soumission à un ordre social inhumain) bien entendu il est allongé sur un grabat infect dans une chambre sordide et glauque mais, suprème raffinement d'esthètes pour corser le tout on savoure en fond sonore, une sélection de bruits significatifs et déstabilisants :marteaux piqueurs,décollage d'un jet,scie circulaire, rugissements d'un fauve, aboiements suraigus d'une meute de chiens s'acharnant sur la dépouille d'un cerf, hurlements d'un sergent des marines,casseroles s'entrechoquant, salves d'un peloton d'exécution, gouttes d'eau tombant dans une cuvette en métal, bref le nirvana...

 

Les chiens aboient, la caravane passe...mieux vaut se replonger dans ce monde mystérieux et fascinant et suivre les aventures mouvementées des treize nains accompagnés par Billon Sacquet le Hobbit froussard qui face au danger fait preuve d'un courage exemplaire.Voici la troupe lancée dans une longue marche (sont-elles volontaires ces références à des faits historiques ? Mao, le Christ et les 13 apôtres ?)vers la montagne solitair: Erobor, qui fut le royaume des nains et en furent chassés, quasi exterminés par le dragon Smaug, qui s'empara de leurs immenses richesses.Gandalf le gris, le magicien leur a promis sa protection mais il doit les quitter pour une rencontre des plus primordiales.


Il leur faut traverser la forêt noire, où pulllent de gigantesques araignées et ne pas oublier l'avertissement de Gandalf : ne quittez jamais le chemin, si vous le quittez vous ne pourrez plus jamais le retrouver! ils seront assaillis et capturés par les féroces arachnides, l'arrivée d'une troupe d'Elphes archers (dont la très jolie Tauriel interprêtée par  Evelyne Lily ) les sauvera mais ce ne sera que pour tomber en captivité.

 

Fort heureusement le Hobbit qui détient l'anneau de pouvoir parviendra à les libérer et après avoir échappés aux attaques des orques, sorte de monstrueux hominidés assoifés de sang de nains,sauvés par un providentiel marinier ils abordent enfin dans la ville d'Esgaroth cité lacustre gouvernée par un souverain adipeux et veule.Une nouvelle attaque (nocturne) des Orques les obligent à fuir à nouveau et après avoir été emportés par des rapides ils parviennent enfin au pied de leur montagne sacrée.

 

Billon Sacquet une fois de plus, par sa patience et son esprit de déduction leur permettera de trouver l'entrée secrète menant aux trésors enfouis. Volontaire désigné d'office il doit pénétrer dans l'antre du dragon afin de dérober la pierre blanche, découvert par le monstre il ne pourra y parvenir et s'en suivra une course éperdue dans les dédales des innombrables tunnels, couloirs, boyaux, escaliers et passerelles.La valeureuse équipe parviendra à s'enfuir mais la lutte à mort contre Smaug se poursuivra, à suivre dans le dernier épisode à venir.

 

Spectacle à recommander pour ceux qui raffolent d'Héroic Fantasy, d'action, de mondes imaginaires, de démesure, la 3 D  en prime accentue le côté fantastique du film.

 

THE END

 


 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Bébé (pas gâté par la nature) :enfin elle sort sa première dent de laid !

 

Crime (au pôle Nord) : c'est l'horreur boréale !

 

Expert (Irlande du Nord) : c'est un pro testant.

 

Femme homosexuelle (meneuse de revue) : Lesbien descendu ?

 

Pharmacien (gay) : c'est la cage aux fioles.

 

Promesses électorales ( député maire) : c'est le double mentons !

 

 

 

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Sophie Ladame se définit elle même une artiste voyageuse, et c'est une navigatrice chevronnée puisqu'elle a passé avec succès son brevet de Capitaine 200. Elle a exercé son talent jusqu'aux antipodes en rapportant des dessins de son séjour en Nouvelle Zélande en côtoyant la communauté Maori. Bourlingueuse aguerrie  elle a promené palette et crayons du Tchad à Madagascar en passant par la Jordanie, le Vietman et la Birmanie sans oublier Cuba.

 

Comme on peut le remarquer sur la photographie ci-dessus elle représente à merveille voiles et cordages on ressent presque le souffle des vents emporter les vieux gréments vers des horizons lointains. Pour autant elle n'oublie pas de représenter dans ces toiles et dessins  tous ces personnes qu'elle a rencontré durant ses périples, un peu comme l'a fait Titouan Lamazou lui aussi artiste et navigateur.

 

Sophie Ladame (quel beau nom..) expose ses oeuvres jusqu'au 5 Janvier 2014 à la Chapelle Saint Sauveur. Une visite à ne pas manquer.

 

Plongée d'une durée de 2 heures 41 dans le monde fantastique de l'héroic Fantasy, magnifié par Peter Jackson: Le Hobbit , la désolation de Smaug , film épique qui connaitra en Juillet 2014 une suite et fin avec "Histoire d'un aller et retour"

Procédant comme de coutume après avoir visionné le film concerné j'ai donc consulté les critiques et comme de coutume les verdicts correspondent à mes attentes: Film  Actu et Figaroscope accordent 5* l'Express 4* le Monde, l'Express et le Point accouchent de 3* et comme prévu "Les Inrockuptibles" concède avec réticence une minuscule * .

Par contre en décortiquant les critiques du public on s'aperçoit qu'en regroupant les 5 *les 4 * et les 3 * on atteint un pourcentage de 86% de spectateurs ayant une très bonne opinion du film.Finalement le public (payant) n'est-il pas le seul juge important, puisque c'est lui qui remplit ou déserte les salles ? le bilan catastrophique de plusieurs films Français en cette année 2013 montre à l'évidence qu'on ne peut faire boire un âne qui n'a pas soif....


Le critique de service du"Nouel Obs ciné"Guillaume Loison en rajoute un petit dernier pour la route et il frappe fort ,extrait: le film demeure globalement dévitalisé, pénible et interminable ! comme on aimerait lire un tel commentaire concernant un de ces films primés qui font se pâmer les bonnes âmes d'avant-garde,du genre :un vieillard atteint d'une maladie incurable est veillé jour et nuit par sa fille, hâve et décharnée, et tandis qu'il agonise il évoque les années passées (misère, violence,faim,révolte, répression, soumission à un ordre social inhumain) bien entendu il est allongé sur un grabat infect dans une chambre sordide et glauque mais, suprème raffinement d'esthètes pour corser le tout on savoure en fond sonore, une sélection de bruits significatifs et déstabilisants :marteaux piqueurs,décollage d'un jet,scie circulaire, rugissements d'un fauve, aboiements suraigus d'une meute de chiens s'acharnant sur la dépouille d'un cerf, hurlements d'un sergent des marines,casseroles s'entrechoquant, salves d'un peloton d'exécution, gouttes d'eau tombant dans une cuvette en métal, bref le nirvana...

 

Les chiens aboient, la caravane passe...mieux vaut se replonger dans ce monde mystérieux et fascinant et suivre les aventures mouvementées des treize nains accompagnés par Billon Sacquet le Hobbit froussard qui face au danger fait preuve d'un courage exemplaire.Voici la troupe lancée dans une longue marche (sont-elles volontaires ces références à des faits historiques ? Mao, le Christ et les 13 apôtres ?)vers la montagne solitair: Erobor, qui fut le royaume des nains et en furent chassés, quasi exterminés par le dragon Smaug, qui s'empara de leurs immenses richesses.Gandalf le gris, le magicien leur a promis sa protection mais il doit les quitter pour une rencontre des plus primordiales.


Il leur faut traverser la forêt noire, où pulllent de gigantesques araignées et ne pas oublier l'avertissement de Gandalf : ne quittez jamais le chemin, si vous le quittez vous ne pourrez plus jamais le retrouver! ils seront assaillis et capturés par les féroces arachnides, l'arrivée d'une troupe d'Elphes archers (dont la très jolie Tauriel interprêtée par  Evelyne Lily ) les sauvera mais ce ne sera que pour tomber en captivité.

 

Fort heureusement le Hobbit qui détient l'anneau de pouvoir parviendra à les libérer et après avoir échappés aux attaques des orques, sorte de monstrueux hominidés assoifés de sang de nains,sauvés par un providentiel marinier ils abordent enfin dans la ville d'Esgaroth cité lacustre gouvernée par un souverain adipeux et veule.Une nouvelle attaque (nocturne) des Orques les obligent à fuir à nouveau et après avoir été emportés par des rapides ils parviennent enfin au pied de leur montagne sacrée.

 

Billon Sacquet une fois de plus, par sa patience et son esprit de déduction leur permettera de trouver l'entrée secrète menant aux trésors enfouis. Volontaire désigné d'office il doit pénétrer dans l'antre du dragon afin de dérober la pierre blanche, découvert par le monstre il ne pourra y parvenir et s'en suivra une course éperdue dans les dédales des innombrables tunnels, couloirs, boyaux, escaliers et passerelles.La valeureuse équipe parviendra à s'enfuir mais la lutte à mort contre Smaug se poursuivra, à suivre dans le dernier épisode à venir.

 

Spectacle à recommander pour ceux qui raffolent d'Héroic Fantasy, d'action, de mondes imaginaires, de démesure, la 3 D  en prime accentue le côté fantastique du film.

 

THE END

 


 

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Bébé (pas gâté par la nature) :enfin elle sort sa première dent de laid !

 

Crime (au pôle Nord) : c'est l'horreur boréale !

 

Expert (Irlande du Nord) : c'est un pro testant.

 

Femme homosexuelle (meneuse de revue) : Lesbien descendu ?

 

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Sophie Ladame se définit elle même une artiste voyageuse, et c'est une navigatrice chevronnée puisqu'elle a passé avec succès son brevet de Capitaine 200. Elle a exercé son talent jusqu'aux antipodes en rapportant des dessins de son séjour en Nouvelle Zélande en côtoyant la communauté Maori. Bourlingueuse aguerrie  elle a promené palette et crayons du Tchad à Madagascar en passant par la Jordanie, le Vietman et la Birmanie sans oublier Cuba.

 

Comme on peut le remarquer sur la photographie ci-dessus elle représente à merveille voiles et cordages on ressent presque le souffle des vents emporter les vieux gréments vers des horizons lointains. Pour autant elle n'oublie pas de représenter dans ces toiles et dessins  tous ces personnes qu'elle a rencontré durant ses périples, un peu comme l'a fait Titouan Lamazou lui aussi artiste et navigateur.

 

Sophie Ladame (quel beau nom..) expose ses oeuvres jusqu'au 5 Janvier 2014 à la Chapelle Saint Sauveur. Une visite à ne pas manquer.

 

Plongée d'une durée de 2 heures 41 dans le monde fantastique de l'héroic Fantasy, magnifié par Peter Jackson: Le Hobbit , la désolation de Smaug , film épique qui connaitra en Juillet 2014 une suite et fin avec "Histoire d'un aller et retour"

Procédant comme de coutume après avoir visionné le film concerné j'ai donc consulté les critiques et comme de coutume les verdicts correspondent à mes attentes: Film  Actu et Figaroscope accordent 5* l'Express 4* le Monde, l'Express et le Point accouchent de 3* et comme prévu "Les Inrockuptibles" concède avec réticence une minuscule * .

Par contre en décortiquant les critiques du public on s'aperçoit qu'en regroupant les 5 *les 4 * et les 3 * on atteint un pourcentage de 86% de spectateurs ayant une très bonne opinion du film.Finalement le public (payant) n'est-il pas le seul juge important, puisque c'est lui qui remplit ou déserte les salles ? le bilan catastrophique de plusieurs films Français en cette année 2013 montre à l'évidence qu'on ne peut faire boire un âne qui n'a pas soif....


Le critique de service du"Nouel Obs ciné"Guillaume Loison en rajoute un petit dernier pour la route et il frappe fort ,extrait: le film demeure globalement dévitalisé, pénible et interminable ! comme on aimerait lire un tel commentaire concernant un de ces films primés qui font se pâmer les bonnes âmes d'avant-garde,du genre :un vieillard atteint d'une maladie incurable est veillé jour et nuit par sa fille, hâve et décharnée, et tandis qu'il agonise il évoque les années passées (misère, violence,faim,révolte, répression, soumission à un ordre social inhumain) bien entendu il est allongé sur un grabat infect dans une chambre sordide et glauque mais, suprème raffinement d'esthètes pour corser le tout on savoure en fond sonore, une sélection de bruits significatifs et déstabilisants :marteaux piqueurs,décollage d'un jet,scie circulaire, rugissements d'un fauve, aboiements suraigus d'une meute de chiens s'acharnant sur la dépouille d'un cerf, hurlements d'un sergent des marines,casseroles s'entrechoquant, salves d'un peloton d'exécution, gouttes d'eau tombant dans une cuvette en métal, bref le nirvana...

 

Les chiens aboient, la caravane passe...mieux vaut se replonger dans ce monde mystérieux et fascinant et suivre les aventures mouvementées des treize nains accompagnés par Billon Sacquet le Hobbit froussard qui face au danger fait preuve d'un courage exemplaire.Voici la troupe lancée dans une longue marche (sont-elles volontaires ces références à des faits historiques ? Mao, le Christ et les 13 apôtres ?)vers la montagne solitair: Erobor, qui fut le royaume des nains et en furent chassés, quasi exterminés par le dragon Smaug, qui s'empara de leurs immenses richesses.Gandalf le gris, le magicien leur a promis sa protection mais il doit les quitter pour une rencontre des plus primordiales.


Il leur faut traverser la forêt noire, où pulllent de gigantesques araignées et ne pas oublier l'avertissement de Gandalf : ne quittez jamais le chemin, si vous le quittez vous ne pourrez plus jamais le retrouver! ils seront assaillis et capturés par les féroces arachnides, l'arrivée d'une troupe d'Elphes archers (dont la très jolie Tauriel interprêtée par  Evelyne Lily ) les sauvera mais ce ne sera que pour tomber en captivité.

 

Fort heureusement le Hobbit qui détient l'anneau de pouvoir parviendra à les libérer et après avoir échappés aux attaques des orques, sorte de monstrueux hominidés assoifés de sang de nains,sauvés par un providentiel marinier ils abordent enfin dans la ville d'Esgaroth cité lacustre gouvernée par un souverain adipeux et veule.Une nouvelle attaque (nocturne) des Orques les obligent à fuir à nouveau et après avoir été emportés par des rapides ils parviennent enfin au pied de leur montagne sacrée.

 

Billon Sacquet une fois de plus, par sa patience et son esprit de déduction leur permettera de trouver l'entrée secrète menant aux trésors enfouis. Volontaire désigné d'office il doit pénétrer dans l'antre du dragon afin de dérober la pierre blanche, découvert par le monstre il ne pourra y parvenir et s'en suivra une course éperdue dans les dédales des innombrables tunnels, couloirs, boyaux, escaliers et passerelles.La valeureuse équipe parviendra à s'enfuir mais la lutte à mort contre Smaug se poursuivra, à suivre dans le dernier épisode à venir.

 

Spectacle à recommander pour ceux qui raffolent d'Héroic Fantasy, d'action, de mondes imaginaires, de démesure, la 3 D  en prime accentue le côté fantastique du film.

 

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Bébé (pas gâté par la nature) :enfin elle sort sa première dent de laid !

 

Crime (au pôle Nord) : c'est l'horreur boréale !

 

Expert (Irlande du Nord) : c'est un pro testant.

 

Femme homosexuelle (meneuse de revue) : Lesbien descendu ?

 

Pharmacien (gay) : c'est la cage aux fioles.

 

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Sophie Ladame se définit elle même une artiste voyageuse, et c'est une navigatrice chevronnée puisqu'elle a passé avec succès son brevet de Capitaine 200. Elle a exercé son talent jusqu'aux antipodes en rapportant des dessins de son séjour en Nouvelle Zélande en côtoyant la communauté Maori. Bourlingueuse aguerrie  elle a promené palette et crayons du Tchad à Madagascar en passant par la Jordanie, le Vietman et la Birmanie sans oublier Cuba.

 

Comme on peut le remarquer sur la photographie ci-dessus elle représente à merveille voiles et cordages on ressent presque le souffle des vents emporter les vieux gréments vers des horizons lointains. Pour autant elle n'oublie pas de représenter dans ces toiles et dessins  tous ces personnes qu'elle a rencontré durant ses périples, un peu comme l'a fait Titouan Lamazou lui aussi artiste et navigateur.

 

Sophie Ladame (quel beau nom..) expose ses oeuvres jusqu'au 5 Janvier 2014 à la Chapelle Saint Sauveur. Une visite à ne pas manquer.

 

Plongée d'une durée de 2 heures 41 dans le monde fantastique de l'héroic Fantasy, magnifié par Peter Jackson: Le Hobbit , la désolation de Smaug , film épique qui connaitra en Juillet 2014 une suite et fin avec "Histoire d'un aller et retour"

Procédant comme de coutume après avoir visionné le film concerné j'ai donc consulté les critiques et comme de coutume les verdicts correspondent à mes attentes: Film  Actu et Figaroscope accordent 5* l'Express 4* le Monde, l'Express et le Point accouchent de 3* et comme prévu "Les Inrockuptibles" concède avec réticence une minuscule * .

Par contre en décortiquant les critiques du public on s'aperçoit qu'en regroupant les 5 *les 4 * et les 3 * on atteint un pourcentage de 86% de spectateurs ayant une très bonne opinion du film.Finalement le public (payant) n'est-il pas le seul juge important, puisque c'est lui qui remplit ou déserte les salles ? le bilan catastrophique de plusieurs films Français en cette année 2013 montre à l'évidence qu'on ne peut faire boire un âne qui n'a pas soif....


Le critique de service du"Nouel Obs ciné"Guillaume Loison en rajoute un petit dernier pour la route et il frappe fort ,extrait: le film demeure globalement dévitalisé, pénible et interminable ! comme on aimerait lire un tel commentaire concernant un de ces films primés qui font se pâmer les bonnes âmes d'avant-garde,du genre :un vieillard atteint d'une maladie incurable est veillé jour et nuit par sa fille, hâve et décharnée, et tandis qu'il agonise il évoque les années passées (misère, violence,faim,révolte, répression, soumission à un ordre social inhumain) bien entendu il est allongé sur un grabat infect dans une chambre sordide et glauque mais, suprème raffinement d'esthètes pour corser le tout on savoure en fond sonore, une sélection de bruits significatifs et déstabilisants :marteaux piqueurs,décollage d'un jet,scie circulaire, rugissements d'un fauve, aboiements suraigus d'une meute de chiens s'acharnant sur la dépouille d'un cerf, hurlements d'un sergent des marines,casseroles s'entrechoquant, salves d'un peloton d'exécution, gouttes d'eau tombant dans une cuvette en métal, bref le nirvana...

 

Les chiens aboient, la caravane passe...mieux vaut se replonger dans ce monde mystérieux et fascinant et suivre les aventures mouvementées des treize nains accompagnés par Billon Sacquet le Hobbit froussard qui face au danger fait preuve d'un courage exemplaire.Voici la troupe lancée dans une longue marche (sont-elles volontaires ces références à des faits historiques ? Mao, le Christ et les 13 apôtres ?)vers la montagne solitair: Erobor, qui fut le royaume des nains et en furent chassés, quasi exterminés par le dragon Smaug, qui s'empara de leurs immenses richesses.Gandalf le gris, le magicien leur a promis sa protection mais il doit les quitter pour une rencontre des plus primordiales.


Il leur faut traverser la forêt noire, où pulllent de gigantesques araignées et ne pas oublier l'avertissement de Gandalf : ne quittez jamais le chemin, si vous le quittez vous ne pourrez plus jamais le retrouver! ils seront assaillis et capturés par les féroces arachnides, l'arrivée d'une troupe d'Elphes archers (dont la très jolie Tauriel interprêtée par  Evelyne Lily ) les sauvera mais ce ne sera que pour tomber en captivité.

 

Fort heureusement le Hobbit qui détient l'anneau de pouvoir parviendra à les libérer et après avoir échappés aux attaques des orques, sorte de monstrueux hominidés assoifés de sang de nains,sauvés par un providentiel marinier ils abordent enfin dans la ville d'Esgaroth cité lacustre gouvernée par un souverain adipeux et veule.Une nouvelle attaque (nocturne) des Orques les obligent à fuir à nouveau et après avoir été emportés par des rapides ils parviennent enfin au pied de leur montagne sacrée.

 

Billon Sacquet une fois de plus, par sa patience et son esprit de déduction leur permettera de trouver l'entrée secrète menant aux trésors enfouis. Volontaire désigné d'office il doit pénétrer dans l'antre du dragon afin de dérober la pierre blanche, découvert par le monstre il ne pourra y parvenir et s'en suivra une course éperdue dans les dédales des innombrables tunnels, couloirs, boyaux, escaliers et passerelles.La valeureuse équipe parviendra à s'enfuir mais la lutte à mort contre Smaug se poursuivra, à suivre dans le dernier épisode à venir.

 

Spectacle à recommander pour ceux qui raffolent d'Héroic Fantasy, d'action, de mondes imaginaires, de démesure, la 3 D  en prime accentue le côté fantastique du film.

 

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Bébé (pas gâté par la nature) :enfin elle sort sa première dent de laid !

 

Crime (au pôle Nord) : c'est l'horreur boréale !

 

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Sophie Ladame se définit elle même une artiste voyageuse, et c'est une navigatrice chevronnée puisqu'elle a passé avec succès son brevet de Capitaine 200. Elle a exercé son talent jusqu'aux antipodes en rapportant des dessins de son séjour en Nouvelle Zélande en côtoyant la communauté Maori. Bourlingueuse aguerrie  elle a promené palette et crayons du Tchad à Madagascar en passant par la Jordanie, le Vietman et la Birmanie sans oublier Cuba.

 

Comme on peut le remarquer sur la photographie ci-dessus elle représente à merveille voiles et cordages on ressent presque le souffle des vents emporter les vieux gréments vers des horizons lointains. Pour autant elle n'oublie pas de représenter dans ces toiles et dessins  tous ces personnes qu'elle a rencontré durant ses périples, un peu comme l'a fait Titouan Lamazou lui aussi artiste et navigateur.

 

Sophie Ladame (quel beau nom..) expose ses oeuvres jusqu'au 5 Janvier 2014 à la Chapelle Saint Sauveur. Une visite à ne pas manquer.

 

Plongée d'une durée de 2 heures 41 dans le monde fantastique de l'héroic Fantasy, magnifié par Peter Jackson: Le Hobbit , la désolation de Smaug , film épique qui connaitra en Juillet 2014 une suite et fin avec "Histoire d'un aller et retour"

Procédant comme de coutume après avoir visionné le film concerné j'ai donc consulté les critiques et comme de coutume les verdicts correspondent à mes attentes: Film  Actu et Figaroscope accordent 5* l'Express 4* le Monde, l'Express et le Point accouchent de 3* et comme prévu "Les Inrockuptibles" concède avec réticence une minuscule * .

Par contre en décortiquant les critiques du public on s'aperçoit qu'en regroupant les 5 *les 4 * et les 3 * on atteint un pourcentage de 86% de spectateurs ayant une très bonne opinion du film.Finalement le public (payant) n'est-il pas le seul juge important, puisque c'est lui qui remplit ou déserte les salles ? le bilan catastrophique de plusieurs films Français en cette année 2013 montre à l'évidence qu'on ne peut faire boire un âne qui n'a pas soif....


Le critique de service du"Nouel Obs ciné"Guillaume Loison en rajoute un petit dernier pour la route et il frappe fort ,extrait: le film demeure globalement dévitalisé, pénible et interminable ! comme on aimerait lire un tel commentaire concernant un de ces films primés qui font se pâmer les bonnes âmes d'avant-garde,du genre :un vieillard atteint d'une maladie incurable est veillé jour et nuit par sa fille, hâve et décharnée, et tandis qu'il agonise il évoque les années passées (misère, violence,faim,révolte, répression, soumission à un ordre social inhumain) bien entendu il est allongé sur un grabat infect dans une chambre sordide et glauque mais, suprème raffinement d'esthètes pour corser le tout on savoure en fond sonore, une sélection de bruits significatifs et déstabilisants :marteaux piqueurs,décollage d'un jet,scie circulaire, rugissements d'un fauve, aboiements suraigus d'une meute de chiens s'acharnant sur la dépouille d'un cerf, hurlements d'un sergent des marines,casseroles s'entrechoquant, salves d'un peloton d'exécution, gouttes d'eau tombant dans une cuvette en métal, bref le nirvana...

 

Les chiens aboient, la caravane passe...mieux vaut se replonger dans ce monde mystérieux et fascinant et suivre les aventures mouvementées des treize nains accompagnés par Billon Sacquet le Hobbit froussard qui face au danger fait preuve d'un courage exemplaire.Voici la troupe lancée dans une longue marche (sont-elles volontaires ces références à des faits historiques ? Mao, le Christ et les 13 apôtres ?)vers la montagne solitair: Erobor, qui fut le royaume des nains et en furent chassés, quasi exterminés par le dragon Smaug, qui s'empara de leurs immenses richesses.Gandalf le gris, le magicien leur a promis sa protection mais il doit les quitter pour une rencontre des plus primordiales.


Il leur faut traverser la forêt noire, où pulllent de gigantesques araignées et ne pas oublier l'avertissement de Gandalf : ne quittez jamais le chemin, si vous le quittez vous ne pourrez plus jamais le retrouver! ils seront assaillis et capturés par les féroces arachnides, l'arrivée d'une troupe d'Elphes archers (dont la très jolie Tauriel interprêtée par  Evelyne Lily ) les sauvera mais ce ne sera que pour tomber en captivité.

 

Fort heureusement le Hobbit qui détient l'anneau de pouvoir parviendra à les libérer et après avoir échappés aux attaques des orques, sorte de monstrueux hominidés assoifés de sang de nains,sauvés par un providentiel marinier ils abordent enfin dans la ville d'Esgaroth cité lacustre gouvernée par un souverain adipeux et veule.Une nouvelle attaque (nocturne) des Orques les obligent à fuir à nouveau et après avoir été emportés par des rapides ils parviennent enfin au pied de leur montagne sacrée.

 

Billon Sacquet une fois de plus, par sa patience et son esprit de déduction leur permettera de trouver l'entrée secrète menant aux trésors enfouis. Volontaire désigné d'office il doit pénétrer dans l'antre du dragon afin de dérober la pierre blanche, découvert par le monstre il ne pourra y parvenir et s'en suivra une course éperdue dans les dédales des innombrables tunnels, couloirs, boyaux, escaliers et passerelles.La valeureuse équipe parviendra à s'enfuir mais la lutte à mort contre Smaug se poursuivra, à suivre dans le dernier épisode à venir.

 

Spectacle à recommander pour ceux qui raffolent d'Héroic Fantasy, d'action, de mondes imaginaires, de démesure, la 3 D  en prime accentue le côté fantastique du film.

 

THE END

 


 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Bébé (pas gâté par la nature) :enfin elle sort sa première dent de laid !

 

Crime (au pôle Nord) : c'est l'horreur boréale !

 

Expert (Irlande du Nord) : c'est un pro testant.

 

Femme homosexuelle (meneuse de revue) : Lesbien descendu ?

 

Pharmacien (gay) : c'est la cage aux fioles.

 

Promesses électorales ( député maire) : c'est le double mentons !

 

 

 

MERCI DE ME FAIRE PART DE VOS REMARQUES

 


 


 


 



 


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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 11:42

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Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques, ci-dessus un triptyque de Sophie Ladame qui expose actuellement (jusqu'au 5 Janvier 2014) à la Chapelle Saint Sauveur, au coeur de l'intra muros de Saint Malo. Dans ce lieu magnifique l'artiste présente une série d'oeuvres de diiférents format, également sur différents supports.L'utilisation du papier kraft comme appui de plusieurs gouaches apporte un aspect inattendu à ses réalisations.


Sophie Ladame se définit elle même une artiste voyageuse, et c'est une navigatrice chevronnée puisqu'elle a passé avec succès son brevet de Capitaine 200. Elle a exercé son talent jusqu'aux antipodes en rapportant des dessins de son séjour en Nouvelle Zélande en côtoyant la communauté Maori. Bourlingueuse aguerrie  elle a promené palette et crayons du Tchad à Madagascar en passant par la Jordanie, le Vietman et la Birmanie sans oublier Cuba.

 

Comme on peut le remarquer sur la photographie ci-dessus elle représente à merveille voiles et cordages on ressent presque le souffle des vents emporter les vieux gréments vers des horizons lointains. Pour autant elle n'oublie pas de représenter dans ces toiles et dessins  tous ces personnes qu'elle a rencontré durant ses périples, un peu comme l'a fait Titouan Lamazou lui aussi artiste et navigateur.

 

Sophie Ladame (quel beau nom..) expose ses oeuvres jusqu'au 5 Janvier 2014 à la Chapelle Saint Sauveur. Une visite à ne pas manquer.

 

Plongée d'une durée de 2 heures 41 dans le monde fantastique de l'héroic Fantasy, magnifié par Peter Jackson: Le Hobbit , la désolation de Smaug , film épique qui connaitra en Juillet 2014 une suite et fin avec "Histoire d'un aller et retour"

Procédant comme de coutume après avoir visionné le film concerné j'ai donc consulté les critiques et comme de coutume les verdicts correspondent à mes attentes: Film  Actu et Figaroscope accordent 5* l'Express 4* le Monde, l'Express et le Point accouchent de 3* et comme prévu "Les Inrockuptibles" concède avec réticence une minuscule * .

Par contre en décortiquant les critiques du public on s'aperçoit qu'en regroupant les 5 *les 4 * et les 3 * on atteint un pourcentage de 86% de spectateurs ayant une très bonne opinion du film.Finalement le public (payant) n'est-il pas le seul juge important, puisque c'est lui qui remplit ou déserte les salles ? le bilan catastrophique de plusieurs films Français en cette année 2013 montre à l'évidence qu'on ne peut faire boire un âne qui n'a pas soif....


Le critique de service du"Nouel Obs ciné"Guillaume Loison en rajoute un petit dernier pour la route et il frappe fort ,extrait: le film demeure globalement dévitalisé, pénible et interminable ! comme on aimerait lire un tel commentaire concernant un de ces films primés qui font se pâmer les bonnes âmes d'avant-garde,du genre :un vieillard atteint d'une maladie incurable est veillé jour et nuit par sa fille, hâve et décharnée, et tandis qu'il agonise il évoque les années passées (misère, violence,faim,révolte, répression, soumission à un ordre social inhumain) bien entendu il est allongé sur un grabat infect dans une chambre sordide et glauque mais, suprème raffinement d'esthètes pour corser le tout on savoure en fond sonore, une sélection de bruits significatifs et déstabilisants :marteaux piqueurs,décollage d'un jet,scie circulaire, rugissements d'un fauve, aboiements suraigus d'une meute de chiens s'acharnant sur la dépouille d'un cerf, hurlements d'un sergent des marines,casseroles s'entrechoquant, salves d'un peloton d'exécution, gouttes d'eau tombant dans une cuvette en métal, bref le nirvana...

 

Les chiens aboient, la caravane passe...mieux vaut se replonger dans ce monde mystérieux et fascinant et suivre les aventures mouvementées des treize nains accompagnés par Billon Sacquet le Hobbit froussard qui face au danger fait preuve d'un courage exemplaire.Voici la troupe lancée dans une longue marche (sont-elles volontaires ces références à des faits historiques ? Mao, le Christ et les 13 apôtres ?)vers la montagne solitair: Erobor, qui fut le royaume des nains et en furent chassés, quasi exterminés par le dragon Smaug, qui s'empara de leurs immenses richesses.Gandalf le gris, le magicien leur a promis sa protection mais il doit les quitter pour une rencontre des plus primordiales.


Il leur faut traverser la forêt noire, où pulllent de gigantesques araignées et ne pas oublier l'avertissement de Gandalf : ne quittez jamais le chemin, si vous le quittez vous ne pourrez plus jamais le retrouver! ils seront assaillis et capturés par les féroces arachnides, l'arrivée d'une troupe d'Elphes archers (dont la très jolie Tauriel interprêtée par  Evelyne Lily ) les sauvera mais ce ne sera que pour tomber en captivité.

 

Fort heureusement le Hobbit qui détient l'anneau de pouvoir parviendra à les libérer et après avoir échappés aux attaques des orques, sorte de monstrueux hominidés assoifés de sang de nains,sauvés par un providentiel marinier ils abordent enfin dans la ville d'Esgaroth cité lacustre gouvernée par un souverain adipeux et veule.Une nouvelle attaque (nocturne) des Orques les obligent à fuir à nouveau et après avoir été emportés par des rapides ils parviennent enfin au pied de leur montagne sacrée.

 

Billon Sacquet une fois de plus, par sa patience et son esprit de déduction leur permettera de trouver l'entrée secrète menant aux trésors enfouis. Volontaire désigné d'office il doit pénétrer dans l'antre du dragon afin de dérober la pierre blanche, découvert par le monstre il ne pourra y parvenir et s'en suivra une course éperdue dans les dédales des innombrables tunnels, couloirs, boyaux, escaliers et passerelles.La valeureuse équipe parviendra à s'enfuir mais la lutte à mort contre Smaug se poursuivra, à suivre dans le dernier épisode à venir.

 

Spectacle à recommander pour ceux qui raffolent d'Héroic Fantasy, d'action, de mondes imaginaires, de démesure, la 3 D  en prime accentue le côté fantastique du film.

 

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Bébé (pas gâté par la nature) :enfin elle sort sa première dent de laid !

 

Crime (au pôle Nord) : c'est l'horreur boréale !

 

Expert (Irlande du Nord) : c'est un pro testant.

 

Femme homosexuelle (meneuse de revue) : Lesbien descendu ?

 

Pharmacien (gay) : c'est la cage aux fioles.

 

Promesses électorales ( député maire) : c'est le double mentons !

 

 

 

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