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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 22:34

CIMG3578.JPG

Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques admirez ci-dessus un des toiles de Jérôme Palfresne exposé dans la Chapelle Saint Sauveur située dans l'intra-muros de Saint Malo. L'exposition est intitulée "POETIQUES URBAINES" titre qui correspond parfaitement aux grands formats présentés.L'artiste nous entraine dans ce monde souterrain d'où émane une atmosphère anxiogène et blême, entrainé par la marée humaine qui arpente des couloirs interminables traversés de violents courants d'air,,d'odeurs et d'humidité suintante tout celà n'incite guère à l'euphorie délirante.

 

Piranèse et ses prisons imaginaires où se croisent des escaliers sans fin , ses labyrinthes menant vers l'inconnu a sans doute guidé l'imaginaire de Jérôme Palfresne qui nous présente une série de grands formats qui revisite avec succès les sous-sols de la capitale en leur apportant une touche féérique.

 

L'artiste pourtant parvient grâce à un art consommé dans le maniement des couleurs à métamorphoser ce monde inhospitalier en véritables palais somptueux où les rouges éclatants et les jaunes d'or transfigurent le banal en y apportant une touche de merveilleux. Comme il est réconfortant de pouvoir s'attarder devant ces créations qui font oublier les fumisteries délirantes de nombre d'artistes "con temporains" usant et abusant du snobisme  d'une pseudo "élite"...

 

La chanson de Gainbourg "le poinçonneur des Lilas" extraite de son premier album sorti en 1958: "du Chant à la une" (qui sera un échec financier) dépeint parfaitement le monde glacé et inhumain qui palpite dans les profondeurs: sous les pavés il n'y  a pas de plages...la musique de cet album était interprétée par l'ensemble d'Alain Coraguer excellent musicien et arrangeur.

 

 

Il y a quelques jours diiffusion sur W 8 du film d'Audiard "Faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages" sorti en 1968. Evidemment le grand probème des chaînes de la TNT c'esy qu'il faut subir trois ou quatre coupures réservées aux espaces publicitaires. Malgré ces désagréments quelle satisfaction de savourer cette comédie, qui fut plébiscitée par le public " populaire" (mon Dieu quelle horreur !) pétillante, parsemée des répliques cultes de ce dialoguiste hors norme. Malheureusement la relève n'a pas été assurée, seul un Dupontel  nous apporte encore ces séquences loufoques et délirantes.

 

Audiard pour ce film s'est entouré d'une grande partie de ses comédiens habituels :Robert Dalban à la trogne si particulière (Casimir le chauffeur) Paul Frankeur ( Ruffin hôtelier rescapé de la fermeture des maisons closes) Mario David (Jacky mauvais "garçon ?"transexuel entouré de sa cour de minets, Bernard Blier ( 2ème mauvais garçon, dit Charles le téméraire) André Pousse ( Fred dit l'élégant, autre mauvais garçon ,gouailleur et amateur de formules lapidaires) Claude Rollet (Tiburce,neveu de Charles, garçon naïf et un peu demeuré) Marlène Jobert ( Rita, délicieuse rousse incendiaire avide d'argent) Françoise Rosay  ( Léontine la tante de Rita, autrefois connue sous le surnom de : la flingueuse )

 

Tout débute par le hold-up réussi de Jacky qui a dérobé une importante cargaison de lingots d'or, malheureusement il se fait doubler par Fred qui en dynamiitant sa voiture récupère le précieux chargement. Bien mal acquis ne profite jamais puisque Charles s'empare des lingots, Rita l'ayant tuyauté sur la prise, contre promesse d'un partage fify fity. Evidemment Charles ne tient pas sa promesse et garde la totalité de la cargaison. Rita en pleurs manifeste sa grande déception : On me frappe, on me dit des gros mots et en plus on me prend mes sous !!!!

 

Folle de rage de s'être laissée avoir Rita file sur le champ chez sa tantine qui coule des jours heureuxx dans sa somptueuse propriété de la côte d'Azur. Sitôt arrivée Rita confie à Léontine que Charles l'a traitée de "vieux débris" n'appréciant pas du tout la tante part pour Paris ausssiôt dans son antique Rolls Royce et ce sera le début d'une folle course à la fortune, Léontine voulant rétablir sa nièce dans ses droits et qui sait? prélever peut-être la part du lion.

 

Rita (en toute modestie...) déclare : je suis drôlement bien foutue ( exact! et vachement intelligente, ce à quoi sa tante rétorque: une fille qui fait 85 cm de tour de poitrine et 32 cm de tour de tête ne peut pas vraiment être une mauvaise fille, elle peut être également sotte et je crains que tu le sois !

 

La chasse est ouverte, les porte flingues de Charles, lors d'une opération, philosophent ,1er malfrat : c'est chouette comme métaphore ! 2ème malfrat :c'est pas une métaphore c'est une périphrase ! 1er malfrat : fais pas chier ! 2ème malfrat : çà c'est une métaphore !

 

Fred ne renonce pas à sa revanche, pour cacher ses activités criminelles il dispose d'une formidable couverture puisqu'il est huissier au ministère de la jusice où vêtu d'une élégante jacquette il annonce les éminents visiteurs : généraux, procureurs, cardinaux et tutti quanti.

 

Rita a jeté son dévolu sur Tiburce,neveu de Charles, mais malgré ses avances il ne semble pas comprendre où elle veut en venir, alors pour ferrer le poisson ils lisent ensemble un ouvrage au titre très explicite :"La vie spermatozoïdaire dans le milieu Amazonien".

 

Finalement la paix sera signée avec Charles et Rita devra épouser Tiburce, quant à l'infortuné Fred, piègé par la féroce Léontine, il va errer longuement dans le dédale des égouts de Paris.

 

THE END

 

 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Croque-mort (accro au jeu) : encore billard !

 

Rongeur aquatique (dans la misère) : Castor mais peu luxe.

 

Paveur (au Moyen-Age ) qu'est-ce qu'il fait aux dalles ?

 

Helvète (grand et maigre) : c'est l'étroit Suisse.

 

Obèse Américain : partisan du dos lard

 

Justicier ( apprenti) : c'est un employé de bourreau.

 

 


MERCI DE ME FAIRE PART DE VOS REMARQUES

 


 


 



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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 22:33

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Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques admirez ci-dessus un des toiles de Jérôme Palfresne exposé dans la Chapelle Saint Sauveur située dans l'intra-muros de Saint Malo. L'exposition est intitulée "POETIQUES URBAINES" titre qui correspond parfaitement aux grands formats présentés.L'artiste nous entraine dans ce monde souterrain d'où émane une atmosphère anxiogène et blême, entrainé par la marée humaine qui arpente des couloirs interminables traversés de violents courants d'air,,d'odeurs et d'humidité suintante tout celà n'incite guère à l'euphorie délirante.

 

Piranèse et ses prisons imaginaires où se croisent des escaliers sans fin , ses labyrinthes menant vers l'inconnu a sans doute guidé l'imaginaire de Jérôme Palfresne qui nous présente une série de grands formats qui revisite avec succès les sous-sols de la capitale en leur apportant une touche féérique.

 

L'artiste pourtant parvient grâce à un art consommé dans le maniement des couleurs à métamorphoser ce monde inhospitalier en véritables palais somptueux où les rouges éclatants et les jaunes d'or transfigurent le banal en y apportant une touche de merveilleux. Comme il est réconfortant de pouvoir s'attarder devant ces créations qui font oublier les fumisteries délirantes de nombre d'artistes "con temporains" usant et abusant du snobisme  d'une pseudo "élite"...

 

La chanson de Gainbourg "le poinçonneur des Lilas" extraite de son premier album sorti en 1958: "du Chant à la une" (qui sera un échec financier) dépeint parfaitement le monde glacé et inhumain qui palpite dans les profondeurs: sous les pavés il n'y  a pas de plages...la musique de cet album était interprétée par l'ensemble d'Alain Coraguer excellent musicien et arrangeur.

 

 

Il y a quelques jours diiffusion sur W 8 du film d'Audiard "Faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages" sorti en 1968. Evidemment le grand probème des chaînes de la TNT c'esy qu'il faut subir trois ou quatre coupures réservées aux espaces publicitaires. Malgré ces désagréments quelle satisfaction de savourer cette comédie, qui fut plébiscitée par le public " populaire" (mon Dieu quelle horreur !) pétillante, parsemée des répliques cultes de ce dialoguiste hors norme. Malheureusement la relève n'a pas été assurée, seul un Dupontel  nous apporte encore ces séquences loufoques et délirantes.

 

Audiard pour ce film s'est entouré d'une grande partie de ses comédiens habituels :Robert Dalban à la trogne si particulière (Casimir le chauffeur) Paul Frankeur ( Ruffin hôtelier rescapé de la fermeture des maisons closes) Mario David (Jacky mauvais "garçon ?"transexuel entouré de sa cour de minets, Bernard Blier ( 2ème mauvais garçon, dit Charles le téméraire) André Pousse ( Fred dit l'élégant, autre mauvais garçon ,gouailleur et amateur de formules lapidaires) Claude Rollet (Tiburce,neveu de Charles, garçon naïf et un peu demeuré) Marlène Jobert ( Rita, délicieuse rousse incendiaire avide d'argent) Françoise Rosay  ( Léontine la tante de Rita, autrefois connue sous le surnom de : la flingueuse )

 

Tout débute par le hold-up réussi de Jacky qui a dérobé une importante cargaison de lingots d'or, malheureusement il se fait doubler par Fred qui en dynamiitant sa voiture récupère le précieux chargement. Bien mal acquis ne profite jamais puisque Charles s'empare des lingots, Rita l'ayant tuyauté sur la prise, contre promesse d'un partage fify fity. Evidemment Charles ne tient pas sa promesse et garde la totalité de la cargaison. Rita en pleurs manifeste sa grande déception : On me frappe, on me dit des gros mots et en plus on me prend mes sous !!!!

 

Folle de rage de s'être laissée avoir Rita file sur le champ chez sa tantine qui coule des jours heureuxx dans sa somptueuse propriété de la côte d'Azur. Sitôt arrivée Rita confie à Léontine que Charles l'a traitée de "vieux débris" n'appréciant pas du tout la tante part pour Paris ausssiôt dans son antique Rolls Royce et ce sera le début d'une folle course à la fortune, Léontine voulant rétablir sa nièce dans ses droits et qui sait? prélever peut-être la part du lion.

 

Rita (en toute modestie...) déclare : je suis drôlement bien foutue ( exact! et vachement intelligente, ce à quoi sa tante rétorque: une fille qui fait 85 cm de tour de poitrine et 32 cm de tour de tête ne peut pas vraiment être une mauvaise fille, elle peut être également sotte et je crains que tu le sois !

 

La chasse est ouverte, les porte flingues de Charles, lors d'une opération, philosophent ,1er malfrat : c'est chouette comme métaphore ! 2ème malfrat :c'est pas une métaphore c'est une périphrase ! 1er malfrat : fais pas chier ! 2ème malfrat : çà c'est une métaphore !

 

Fred ne renonce pas à sa revanche, pour cacher ses activités criminelles il dispose d'une formidable couverture puisqu'il est huissier au ministère de la jusice où vêtu d'une élégante jacquette il annonce les éminents visiteurs : généraux, procureurs, cardinaux et tutti quanti.

 

Rita a jeté son dévolu sur Tiburce,neveu de Charles, mais malgré ses avances il ne semble pas comprendre où elle veut en venir, alors pour ferrer le poisson ils lisent ensemble un ouvrage au titre très explicite :"La vie spermatozoïdaire dans le milieu Amazonien".

 

Finalement la paix sera signée avec Charles et Rita devra épouser Tiburce, quant à l'infortuné Fred, piègé par la féroce Léontine, il va errer longuement dans le dédale des égouts de Paris.

 

THE END

 

 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Croque-mort (accro au jeu) : encore billard !

 

Rongeur aquatique (dans la misère) : Castor mais peu luxe.

 

Paveur (au Moyen-Age ) qu'est-ce qu'il fait aux dalles ?

 

Helvète (grand et maigre) : c'est l'étroit Suisse.

 

Obèse Américain : partisan du dos lard

 

Justicier ( apprenti) : c'est un employé de bourreau.

 

 


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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 22:33

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Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques admirez ci-dessus un des toiles de Jérôme Palfresne exposé dans la Chapelle Saint Sauveur située dans l'intra-muros de Saint Malo. L'exposition est intitulée "POETIQUES URBAINES" titre qui correspond parfaitement aux grands formats présentés.L'artiste nous entraine dans ce monde souterrain d'où émane une atmosphère anxiogène et blême, entrainé par la marée humaine qui arpente des couloirs interminables traversés de violents courants d'air,,d'odeurs et d'humidité suintante tout celà n'incite guère à l'euphorie délirante.

 

Piranèse et ses prisons imaginaires où se croisent des escaliers sans fin , ses labyrinthes menant vers l'inconnu a sans doute guidé l'imaginaire de Jérôme Palfresne qui nous présente une série de grands formats qui revisite avec succès les sous-sols de la capitale en leur apportant une touche féérique.

 

L'artiste pourtant parvient grâce à un art consommé dans le maniement des couleurs à métamorphoser ce monde inhospitalier en véritables palais somptueux où les rouges éclatants et les jaunes d'or transfigurent le banal en y apportant une touche de merveilleux. Comme il est réconfortant de pouvoir s'attarder devant ces créations qui font oublier les fumisteries délirantes de nombre d'artistes "con temporains" usant et abusant du snobisme  d'une pseudo "élite"...

 

La chanson de Gainbourg "le poinçonneur des Lilas" extraite de son premier album sorti en 1958: "du Chant à la une" (qui sera un échec financier) dépeint parfaitement le monde glacé et inhumain qui palpite dans les profondeurs: sous les pavés il n'y  a pas de plages...la musique de cet album était interprétée par l'ensemble d'Alain Coraguer excellent musicien et arrangeur.

 

 

Il y a quelques jours diiffusion sur W 8 du film d'Audiard "Faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages" sorti en 1968. Evidemment le grand probème des chaînes de la TNT c'esy qu'il faut subir trois ou quatre coupures réservées aux espaces publicitaires. Malgré ces désagréments quelle satisfaction de savourer cette comédie, qui fut plébiscitée par le public " populaire" (mon Dieu quelle horreur !) pétillante, parsemée des répliques cultes de ce dialoguiste hors norme. Malheureusement la relève n'a pas été assurée, seul un Dupontel  nous apporte encore ces séquences loufoques et délirantes.

 

Audiard pour ce film s'est entouré d'une grande partie de ses comédiens habituels :Robert Dalban à la trogne si particulière (Casimir le chauffeur) Paul Frankeur ( Ruffin hôtelier rescapé de la fermeture des maisons closes) Mario David (Jacky mauvais "garçon ?"transexuel entouré de sa cour de minets, Bernard Blier ( 2ème mauvais garçon, dit Charles le téméraire) André Pousse ( Fred dit l'élégant, autre mauvais garçon ,gouailleur et amateur de formules lapidaires) Claude Rollet (Tiburce,neveu de Charles, garçon naïf et un peu demeuré) Marlène Jobert ( Rita, délicieuse rousse incendiaire avide d'argent) Françoise Rosay  ( Léontine la tante de Rita, autrefois connue sous le surnom de : la flingueuse )

 

Tout débute par le hold-up réussi de Jacky qui a dérobé une importante cargaison de lingots d'or, malheureusement il se fait doubler par Fred qui en dynamiitant sa voiture récupère le précieux chargement. Bien mal acquis ne profite jamais puisque Charles s'empare des lingots, Rita l'ayant tuyauté sur la prise, contre promesse d'un partage fify fity. Evidemment Charles ne tient pas sa promesse et garde la totalité de la cargaison. Rita en pleurs manifeste sa grande déception : On me frappe, on me dit des gros mots et en plus on me prend mes sous !!!!

 

Folle de rage de s'être laissée avoir Rita file sur le champ chez sa tantine qui coule des jours heureuxx dans sa somptueuse propriété de la côte d'Azur. Sitôt arrivée Rita confie à Léontine que Charles l'a traitée de "vieux débris" n'appréciant pas du tout la tante part pour Paris ausssiôt dans son antique Rolls Royce et ce sera le début d'une folle course à la fortune, Léontine voulant rétablir sa nièce dans ses droits et qui sait? prélever peut-être la part du lion.

 

Rita (en toute modestie...) déclare : je suis drôlement bien foutue ( exact! et vachement intelligente, ce à quoi sa tante rétorque: une fille qui fait 85 cm de tour de poitrine et 32 cm de tour de tête ne peut pas vraiment être une mauvaise fille, elle peut être également sotte et je crains que tu le sois !

 

La chasse est ouverte, les porte flingues de Charles, lors d'une opération, philosophent ,1er malfrat : c'est chouette comme métaphore ! 2ème malfrat :c'est pas une métaphore c'est une périphrase ! 1er malfrat : fais pas chier ! 2ème malfrat : çà c'est une métaphore !

 

Fred ne renonce pas à sa revanche, pour cacher ses activités criminelles il dispose d'une formidable couverture puisqu'il est huissier au ministère de la jusice où vêtu d'une élégante jacquette il annonce les éminents visiteurs : généraux, procureurs, cardinaux et tutti quanti.

 

Rita a jeté son dévolu sur Tiburce,neveu de Charles, mais malgré ses avances il ne semble pas comprendre où elle veut en venir, alors pour ferrer le poisson ils lisent ensemble un ouvrage au titre très explicite :"La vie spermatozoïdaire dans le milieu Amazonien".

 

Finalement la paix sera signée avec Charles et Rita devra épouser Tiburce, quant à l'infortuné Fred, piègé par la féroce Léontine, il va errer longuement dans le dédale des égouts de Paris.

 

THE END

 

 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Croque-mort (accro au jeu) : encore billard !

 

Rongeur aquatique (dans la misère) : Castor mais peu luxe.

 

Paveur (au Moyen-Age ) qu'est-ce qu'il fait aux dalles ?

 

Helvète (grand et maigre) : c'est l'étroit Suisse.

 

Obèse Américain : partisan du dos lard

 

Justicier ( apprenti) : c'est un employé de bourreau.

 

 


MERCI DE ME FAIRE PART DE VOS REMARQUES

 


 


 



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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 16:14

CIMG2775.JPG

Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques, ci-dessus une toile du grand peintre Américain Edward Hopper, souvenir de la splendide exposition qui lui été consacré au Grand Palais d'Octobre 2012 à Janvier 2013.Ce grand artiste était un Francophile convaincu, son séjour à Paris de 1906 à 1910 l'a formé artistiquement et il a acquis une culture pleinement Européenne. Il demeurait rue De Lille,à peu de distance du Louvre et c'est certainement en ces lieux qu'il s'est formé esthétiquement, les voyages qui le menèrent aux Pays Bas, en Grande-Bretagne, en Espagne et en Allemagne ont contribué aussi à approfondir ses connaissances picturales.

 

Il conservera de son périple une grande admiration pour l'oeuvre de Rembrand et Vermeer et on retouve ces influences dans sa maestria à traiter la lumière et l'ombre.

 

On ne connaissait de lui, en France que cette toile, la plus fréquemment éditée " Nighthawks" vision glaciale d'un snack de nuit où les derniers clients sont comme enfermés dans leur solitude. L'oeuvre de Hopper est bien éloignée de la vision obligatoirement optimiste de "l'Américan Way of life" illustré par un Norman Rockwell.

 

Edwrd Hopper a transcrit dans ses toiles des scènes de la vie ordinaire, utilisant la couleur avec virtuosité mais on ressent derrière les apparences une profonde mélancolie, ses personnages sont souvent statiques, semblant attendre on ne sait quoi qui ne vient pas.

 

Visionnage DVD du film de John Hilcoat :"The Road"sorti en 2009 d'une durée de  1h 59 mn.Film post-apocalyptique remarquable, interprété par Wigo Mortensen( le père) Kodi Smit-Mc Phee (le fils) Charlize Theron (l'épouse) nous voici 10 ans après une catastrophe inexpliquée qui a transformé la terre en lieu maudit d'où a disparu toute végétation,où errent quelques rares survivants.

 

Scénario improbable penseront certains mais notre planête n'est pas un sanctuaire inviolable et voici 65 millions d'années une gigantesque météorite de 10 kms de diamètre creusa, en s'écrasant dans le Yucatan à Chicxulub, un cratère de 180 kilomètres de diamètre. Les roches  furent vaporisées créant un énorme nuage de trioxyde de soufre,la température s'éleva à des milliers de degrés entrainant la mort de la majorité des êtres vivants,enflammant la végétation, un tsunami colossal (vague de 300 mètres de haut)submergea les terres et des pluies acides tombant durant des années,détruisirent les rares plantes rescapées et la vie des océans entrainant la disparition des dinosaures maîtres incontestés durant 160 millions d'années, donc ce qui a été peut à nouveau être...

 

Mais on s'éloigne du sujet : d'emblée nous revivons les années prè-catastrophe un couple heureux, le père chirurgien vit tranquille dans une campagne sereine, leur jeune fils s'épanouit sans problème et brutalement le cataclysme survient :une lueur aveuglante , les cultures ont disparu, les animaux n'ont pas survécu, dans les jours suivants il leur faut prendre une décision et partir.

 

La femme est opposée à cette option et disparait,malgré les recherches elle demeure introuvable. Voici le père et le fils marchant sur les routes dévastées en poussant un chariot de super marché contenant leurs maigres trésors. Tous deux marchent, tenaillés par la faim; le danger est partout, des groupes armés rodent et des cas de cannibalisme sont signalés.Le père n'a qu'un seul but:rejoindre la côte,atteindre la mer.

 

Au loin les lueurs d'un incendie rougeoient le ciel, des bruits d'explosions parviennent jusqu'à eux, ils pénètrent dans un ferme abandonnée, y passent la nuit mais au petit matin l'arrivée dans la cour d'hommes armés les obligent à s'enfuir, le père ouvre le barillet de son révolver : il ne lui reste que 2 balles.ils se sont cachés dans un bois mais un des hommes du groupe tente d'enlever son fils, le pére tire, l'homme est tué, son fils blessé, flash back,évocation des jours heureux:sa femme joue une ballade sur le piano du salon.

 

La faim au ventre père et fils poursuivent leur dangereux périple, là haut sur la colline une sorte de manoir et dans la cour une trappe fermée par un cadenas. Le père le brise, ils aboutissent dans une cave emplie de personnes nues qui, il le comprend vite servent de réserve de nourriture,des hommes armés de fusils approchent, fuite éperdue à nouveau.

 

Ils sont à bout de forces après une longue marche et voici une maison abandonnée et ô miracle ils découvrent un abri anti-atomique souterrain regorgeant de provisions de toutes sortes ; redécouverte de saveurs oubliées: soupes, desserts, plats préparés.Il y a même une douche, opérationnelle heureusement ,du shampoing,du savon et c'est avec volupté que père et fils se dépouillent de leurs oripeaux puants et de la crasse emmagasinée depuis des mois.

 

Des bruits suspects proviennent de l'extérieur, dès la nuit venue après avoir fait le plein de denrées, ils fuient à nouveau.Une fois encore iis seront  pourchassés et trouvent asile dans une église en ruine, ils en repartent, la mer est proche ils l'atteignent enfin,à peu de distance de la plage, un cargo échoué, le père se dévêt et nage vers le navire, quand il revient sur la plage il découvre qu'en son absence un homme armé d'un couteau a volé leur précieux chariot,la poursuite s'engage il retrouve le voleur et l'oblige à se déshabiller entièrement et une fois qu'il se retrouve totalement nu il est abandonné à son triste sort.

 

Tous deux repartent et pénètrent dans un ville abandonnée, ils sont guettés depuis une fenêtre, le père est atteint d'une flèche dans la cuisse, il riposte en envoyant une fusée de détresse récupérée dans le cargo, dans l'appartement git l'agresseur,mort, près de lui sa femme en larmes.


 Ils ont rejoint le rivage,le père est extrêmement affaibli, sa santé est fortement déclinante et là sur cette plage qui a été si difficile à atteindre il s'allonge pour un dernier sommeil, après avoir confié à son fils ce trésor: le revolver et l'unique balle dans le barillet ainsi que les jumelles.

 

Le jeune garçon se retrouve seul et désemparé, un homme s'approche sous la menace du révolver mais il est pacifique , le garçon le suit et rejoint la petite famille, non loin de là , qui l'accueille chaleureusement,écrasé de chagrin et de joie il se réfugie dans les bras de la femme.

 

THE END

 

 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Beatle (en visite dans un couvent): John, les nonnes !

 

Oisillon des marais : mon père ce héron.

 

Sexualité (femmes insatisfaites) : les frigides errent.

 

Géomètre (anarchste) : ni Dieu ni mètre.

 

Homosexuel ( amateur d'Amérindiens) : il faut savoir tourner l'Apache.

 

Aérostier (originaire de RDA) : c'est l'Allemagne de lest.

 

 

 

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 16:14

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Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques, ci-dessus une toile du grand peintre Américain Edward Hopper, souvenir de la splendide exposition qui lui été consacré au Grand Palais d'Octobre 2012 à Janvier 2013.Ce grand artiste était un Francophile convaincu, son séjour à Paris de 1906 à 1910 l'a formé artistiquement et il a acquis une culture pleinement Européenne. Il demeurait rue De Lille,à peu de distance du Louvre et c'est certainement en ces lieux qu'il s'est formé esthétiquement, les voyages qui le menèrent aux Pays Bas, en Grande-Bretagne, en Espagne et en Allemagne ont contribué aussi à approfondir ses connaissances picturales.

 

Il conservera de son périple une grande admiration pour l'oeuvre de Rembrand et Vermeer et on retouve ces influences dans sa maestria à traiter la lumière et l'ombre.

 

On ne connaissait de lui, en France que cette toile, la plus fréquemment éditée " Nighthawks" vision glaciale d'un snack de nuit où les derniers clients sont comme enfermés dans leur solitude. L'oeuvre de Hopper est bien éloignée de la vision obligatoirement optimiste de "l'Américan Way of life" illustré par un Norman Rockwell.

 

Edwrd Hopper a transcrit dans ses toiles des scènes de la vie ordinaire, utilisant la couleur avec virtuosité mais on ressent derrière les apparences une profonde mélancolie, ses personnages sont souvent statiques, semblant attendre on ne sait quoi qui ne vient pas.

 

Visionnage DVD du film de John Hilcoat :"The Road"sorti en 2009 d'une durée de  1h 59 mn.Film post-apocalyptique remarquable, interprété par Wigo Mortensen( le père) Kodi Smit-Mc Phee (le fils) Charlize Theron (l'épouse) nous voici 10 ans après une catastrophe inexpliquée qui a transformé la terre en lieu maudit d'où a disparu toute végétation,où errent quelques rares survivants.

 

Scénario improbable penseront certains mais notre planête n'est pas un sanctuaire inviolable et voici 65 millions d'années une gigantesque météorite de 10 kms de diamètre creusa, en s'écrasant dans le Yucatan à Chicxulub, un cratère de 180 kilomètres de diamètre. Les roches  furent vaporisées créant un énorme nuage de trioxyde de soufre,la température s'éleva à des milliers de degrés entrainant la mort de la majorité des êtres vivants,enflammant la végétation, un tsunami colossal (vague de 300 mètres de haut)submergea les terres et des pluies acides tombant durant des années,détruisirent les rares plantes rescapées et la vie des océans entrainant la disparition des dinosaures maîtres incontestés durant 160 millions d'années, donc ce qui a été peut à nouveau être...

 

Mais on s'éloigne du sujet : d'emblée nous revivons les années prè-catastrophe un couple heureux, le père chirurgien vit tranquille dans une campagne sereine, leur jeune fils s'épanouit sans problème et brutalement le cataclysme survient :une lueur aveuglante , les cultures ont disparu, les animaux n'ont pas survécu, dans les jours suivants il leur faut prendre une décision et partir.

 

La femme est opposée à cette option et disparait,malgré les recherches elle demeure introuvable. Voici le père et le fils marchant sur les routes dévastées en poussant un chariot de super marché contenant leurs maigres trésors. Tous deux marchent, tenaillés par la faim; le danger est partout, des groupes armés rodent et des cas de cannibalisme sont signalés.Le père n'a qu'un seul but:rejoindre la côte,atteindre la mer.

 

Au loin les lueurs d'un incendie rougeoient le ciel, des bruits d'explosions parviennent jusqu'à eux, ils pénètrent dans un ferme abandonnée, y passent la nuit mais au petit matin l'arrivée dans la cour d'hommes armés les obligent à s'enfuir, le père ouvre le barillet de son révolver : il ne lui reste que 2 balles.ils se sont cachés dans un bois mais un des hommes du groupe tente d'enlever son fils, le pére tire, l'homme est tué, son fils blessé, flash back,évocation des jours heureux:sa femme joue une ballade sur le piano du salon.

 

La faim au ventre père et fils poursuivent leur dangereux périple, là haut sur la colline une sorte de manoir et dans la cour une trappe fermée par un cadenas. Le père le brise, ils aboutissent dans une cave emplie de personnes nues qui, il le comprend vite servent de réserve de nourriture,des hommes armés de fusils approchent, fuite éperdue à nouveau.

 

Ils sont à bout de forces après une longue marche et voici une maison abandonnée et ô miracle ils découvrent un abri anti-atomique souterrain regorgeant de provisions de toutes sortes ; redécouverte de saveurs oubliées: soupes, desserts, plats préparés.Il y a même une douche, opérationnelle heureusement ,du shampoing,du savon et c'est avec volupté que père et fils se dépouillent de leurs oripeaux puants et de la crasse emmagasinée depuis des mois.

 

Des bruits suspects proviennent de l'extérieur, dès la nuit venue après avoir fait le plein de denrées, ils fuient à nouveau.Une fois encore iis seront  pourchassés et trouvent asile dans une église en ruine, ils en repartent, la mer est proche ils l'atteignent enfin,à peu de distance de la plage, un cargo échoué, le père se dévêt et nage vers le navire, quand il revient sur la plage il découvre qu'en son absence un homme armé d'un couteau a volé leur précieux chariot,la poursuite s'engage il retrouve le voleur et l'oblige à se déshabiller entièrement et une fois qu'il se retrouve totalement nu il est abandonné à son triste sort.

 

Tous deux repartent et pénètrent dans un ville abandonnée, ils sont guettés depuis une fenêtre, le père est atteint d'une flèche dans la cuisse, il riposte en envoyant une fusée de détresse récupérée dans le cargo, dans l'appartement git l'agresseur,mort, près de lui sa femme en larmes.


 Ils ont rejoint le rivage,le père est extrêmement affaibli, sa santé est fortement déclinante et là sur cette plage qui a été si difficile à atteindre il s'allonge pour un dernier sommeil, après avoir confié à son fils ce trésor: le revolver et l'unique balle dans le barillet ainsi que les jumelles.

 

Le jeune garçon se retrouve seul et désemparé, un homme s'approche sous la menace du révolver mais il est pacifique , le garçon le suit et rejoint la petite famille, non loin de là , qui l'accueille chaleureusement,écrasé de chagrin et de joie il se réfugie dans les bras de la femme.

 

THE END

 

 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Beatle (en visite dans un couvent): John, les nonnes !

 

Oisillon des marais : mon père ce héron.

 

Sexualité (femmes insatisfaites) : les frigides errent.

 

Géomètre (anarchste) : ni Dieu ni mètre.

 

Homosexuel ( amateur d'Amérindiens) : il faut savoir tourner l'Apache.

 

Aérostier (originaire de RDA) : c'est l'Allemagne de lest.

 

 

 

MERCI DE ME FAIRE PART DE VOS REMARQUES

 


 


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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 16:13

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Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques, ci-dessus une toile du grand peintre Américain Edward Hopper, souvenir de la splendide exposition qui lui été consacré au Grand Palais d'Octobre 2012 à Janvier 2013.Ce grand artiste était un Francophile convaincu, son séjour à Paris de 1906 à 1910 l'a formé artistiquement et il a acquis une culture pleinement Européenne. Il demeurait rue De Lille,à peu de distance du Louvre et c'est certainement en ces lieux qu'il s'est formé esthétiquement, les voyages qui le menèrent aux Pays Bas, en Grande-Bretagne, en Espagne et en Allemagne ont contribué aussi à approfondir ses connaissances picturales.

 

Il conservera de son périple une grande admiration pour l'oeuvre de Rembrand et Vermeer et on retouve ces influences dans sa maestria à traiter la lumière et l'ombre.

 

On ne connaissait de lui, en France que cette toile, la plus fréquemment éditée " Nighthawks" vision glaciale d'un snack de nuit où les derniers clients sont comme enfermés dans leur solitude. L'oeuvre de Hopper est bien éloignée de la vision obligatoirement optimiste de "l'Américan Way of life" illustré par un Norman Rockwell.

 

Edwrd Hopper a transcrit dans ses toiles des scènes de la vie ordinaire, utilisant la couleur avec virtuosité mais on ressent derrière les apparences une profonde mélancolie, ses personnages sont souvent statiques, semblant attendre on ne sait quoi qui ne vient pas.

 

Visionnage DVD du film de John Hilcoat :"The Road"sorti en 2009 d'une durée de  1h 59 mn.Film post-apocalyptique remarquable, interprété par Wigo Mortensen( le père) Kodi Smit-Mc Phee (le fils) Charlize Theron (l'épouse) nous voici 10 ans après une catastrophe inexpliquée qui a transformé la terre en lieu maudit d'où a disparu toute végétation,où errent quelques rares survivants.

 

Scénario improbable penseront certains mais notre planête n'est pas un sanctuaire inviolable et voici 65 millions d'années une gigantesque météorite de 10 kms de diamètre creusa, en s'écrasant dans le Yucatan à Chicxulub, un cratère de 180 kilomètres de diamètre. Les roches  furent vaporisées créant un énorme nuage de trioxyde de soufre,la température s'éleva à des milliers de degrés entrainant la mort de la majorité des êtres vivants,enflammant la végétation, un tsunami colossal (vague de 300 mètres de haut)submergea les terres et des pluies acides tombant durant des années,détruisirent les rares plantes rescapées et la vie des océans entrainant la disparition des dinosaures maîtres incontestés durant 160 millions d'années, donc ce qui a été peut à nouveau être...

 

Mais on s'éloigne du sujet : d'emblée nous revivons les années prè-catastrophe un couple heureux, le père chirurgien vit tranquille dans une campagne sereine, leur jeune fils s'épanouit sans problème et brutalement le cataclysme survient :une lueur aveuglante , les cultures ont disparu, les animaux n'ont pas survécu, dans les jours suivants il leur faut prendre une décision et partir.

 

La femme est opposée à cette option et disparait,malgré les recherches elle demeure introuvable. Voici le père et le fils marchant sur les routes dévastées en poussant un chariot de super marché contenant leurs maigres trésors. Tous deux marchent, tenaillés par la faim; le danger est partout, des groupes armés rodent et des cas de cannibalisme sont signalés.Le père n'a qu'un seul but:rejoindre la côte,atteindre la mer.

 

Au loin les lueurs d'un incendie rougeoient le ciel, des bruits d'explosions parviennent jusqu'à eux, ils pénètrent dans un ferme abandonnée, y passent la nuit mais au petit matin l'arrivée dans la cour d'hommes armés les obligent à s'enfuir, le père ouvre le barillet de son révolver : il ne lui reste que 2 balles.ils se sont cachés dans un bois mais un des hommes du groupe tente d'enlever son fils, le pére tire, l'homme est tué, son fils blessé, flash back,évocation des jours heureux:sa femme joue une ballade sur le piano du salon.

 

La faim au ventre père et fils poursuivent leur dangereux périple, là haut sur la colline une sorte de manoir et dans la cour une trappe fermée par un cadenas. Le père le brise, ils aboutissent dans une cave emplie de personnes nues qui, il le comprend vite servent de réserve de nourriture,des hommes armés de fusils approchent, fuite éperdue à nouveau.

 

Ils sont à bout de forces après une longue marche et voici une maison abandonnée et ô miracle ils découvrent un abri anti-atomique souterrain regorgeant de provisions de toutes sortes ; redécouverte de saveurs oubliées: soupes, desserts, plats préparés.Il y a même une douche, opérationnelle heureusement ,du shampoing,du savon et c'est avec volupté que père et fils se dépouillent de leurs oripeaux puants et de la crasse emmagasinée depuis des mois.

 

Des bruits suspects proviennent de l'extérieur, dès la nuit venue après avoir fait le plein de denrées, ils fuient à nouveau.Une fois encore iis seront  pourchassés et trouvent asile dans une église en ruine, ils en repartent, la mer est proche ils l'atteignent enfin,à peu de distance de la plage, un cargo échoué, le père se dévêt et nage vers le navire, quand il revient sur la plage il découvre qu'en son absence un homme armé d'un couteau a volé leur précieux chariot,la poursuite s'engage il retrouve le voleur et l'oblige à se déshabiller entièrement et une fois qu'il se retrouve totalement nu il est abandonné à son triste sort.

 

Tous deux repartent et pénètrent dans un ville abandonnée, ils sont guettés depuis une fenêtre, le père est atteint d'une flèche dans la cuisse, il riposte en envoyant une fusée de détresse récupérée dans le cargo, dans l'appartement git l'agresseur,mort, près de lui sa femme en larmes.


 Ils ont rejoint le rivage,le père est extrêmement affaibli, sa santé est fortement déclinante et là sur cette plage qui a été si difficile à atteindre il s'allonge pour un dernier sommeil, après avoir confié à son fils ce trésor: le revolver et l'unique balle dans le barillet ainsi que les jumelles.

 

Le jeune garçon se retrouve seul et désemparé, un homme s'approche sous la menace du révolver mais il est pacifique , le garçon le suit et rejoint la petite famille, non loin de là , qui l'accueille chaleureusement,écrasé de chagrin et de joie il se réfugie dans les bras de la femme.

 

THE END

 

 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Beatle (en visite dans un couvent): John, les nonnes !

 

Oisillon des marais : mon père ce héron.

 

Sexualité (femmes insatisfaites) : les frigides errent.

 

Géomètre (anarchste) : ni Dieu ni mètre.

 

Homosexuel ( amateur d'Amérindiens) : il faut savoir tourner l'Apache.

 

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Il conservera de son périple une grande admiration pour l'oeuvre de Rembrand et Vermeer et on retouve ces influences dans sa maestria à traiter la lumière et l'ombre.

 

On ne connaissait de lui, en France que cette toile, la plus fréquemment éditée " Nighthawks" vision glaciale d'un snack de nuit où les derniers clients sont comme enfermés dans leur solitude. L'oeuvre de Hopper est bien éloignée de la vision obligatoirement optimiste de "l'Américan Way of life" illustré par un Norman Rockwell.

 

Edwrd Hopper a transcrit dans ses toiles des scènes de la vie ordinaire, utilisant la couleur avec virtuosité mais on ressent derrière les apparences une profonde mélancolie, ses personnages sont souvent statiques, semblant attendre on ne sait quoi qui ne vient pas.

 

Visionnage DVD du film de John Hilcoat :"The Road"sorti en 2009 d'une durée de  1h 59 mn.Film post-apocalyptique remarquable, interprété par Wigo Mortensen( le père) Kodi Smit-Mc Phee (le fils) Charlize Theron (l'épouse) nous voici 10 ans après une catastrophe inexpliquée qui a transformé la terre en lieu maudit d'où a disparu toute végétation,où errent quelques rares survivants.

 

Scénario improbable penseront certains mais notre planête n'est pas un sanctuaire inviolable et voici 65 millions d'années une gigantesque météorite de 10 kms de diamètre creusa, en s'écrasant dans le Yucatan à Chicxulub, un cratère de 180 kilomètres de diamètre. Les roches  furent vaporisées créant un énorme nuage de trioxyde de soufre,la température s'éleva à des milliers de degrés entrainant la mort de la majorité des êtres vivants,enflammant la végétation, un tsunami colossal (vague de 300 mètres de haut)submergea les terres et des pluies acides tombant durant des années,détruisirent les rares plantes rescapées et la vie des océans entrainant la disparition des dinosaures maîtres incontestés durant 160 millions d'années, donc ce qui a été peut à nouveau être...

 

Mais on s'éloigne du sujet : d'emblée nous revivons les années prè-catastrophe un couple heureux, le père chirurgien vit tranquille dans une campagne sereine, leur jeune fils s'épanouit sans problème et brutalement le cataclysme survient :une lueur aveuglante , les cultures ont disparu, les animaux n'ont pas survécu, dans les jours suivants il leur faut prendre une décision et partir.

 

La femme est opposée à cette option et disparait,malgré les recherches elle demeure introuvable. Voici le père et le fils marchant sur les routes dévastées en poussant un chariot de super marché contenant leurs maigres trésors. Tous deux marchent, tenaillés par la faim; le danger est partout, des groupes armés rodent et des cas de cannibalisme sont signalés.Le père n'a qu'un seul but:rejoindre la côte,atteindre la mer.

 

Au loin les lueurs d'un incendie rougeoient le ciel, des bruits d'explosions parviennent jusqu'à eux, ils pénètrent dans un ferme abandonnée, y passent la nuit mais au petit matin l'arrivée dans la cour d'hommes armés les obligent à s'enfuir, le père ouvre le barillet de son révolver : il ne lui reste que 2 balles.ils se sont cachés dans un bois mais un des hommes du groupe tente d'enlever son fils, le pére tire, l'homme est tué, son fils blessé, flash back,évocation des jours heureux:sa femme joue une ballade sur le piano du salon.

 

La faim au ventre père et fils poursuivent leur dangereux périple, là haut sur la colline une sorte de manoir et dans la cour une trappe fermée par un cadenas. Le père le brise, ils aboutissent dans une cave emplie de personnes nues qui, il le comprend vite servent de réserve de nourriture,des hommes armés de fusils approchent, fuite éperdue à nouveau.

 

Ils sont à bout de forces après une longue marche et voici une maison abandonnée et ô miracle ils découvrent un abri anti-atomique souterrain regorgeant de provisions de toutes sortes ; redécouverte de saveurs oubliées: soupes, desserts, plats préparés.Il y a même une douche, opérationnelle heureusement ,du shampoing,du savon et c'est avec volupté que père et fils se dépouillent de leurs oripeaux puants et de la crasse emmagasinée depuis des mois.

 

Des bruits suspects proviennent de l'extérieur, dès la nuit venue après avoir fait le plein de denrées, ils fuient à nouveau.Une fois encore iis seront  pourchassés et trouvent asile dans une église en ruine, ils en repartent, la mer est proche ils l'atteignent enfin,à peu de distance de la plage, un cargo échoué, le père se dévêt et nage vers le navire, quand il revient sur la plage il découvre qu'en son absence un homme armé d'un couteau a volé leur précieux chariot,la poursuite s'engage il retrouve le voleur et l'oblige à se déshabiller entièrement et une fois qu'il se retrouve totalement nu il est abandonné à son triste sort.

 

Tous deux repartent et pénètrent dans un ville abandonnée, ils sont guettés depuis une fenêtre, le père est atteint d'une flèche dans la cuisse, il riposte en envoyant une fusée de détresse récupérée dans le cargo, dans l'appartement git l'agresseur,mort, près de lui sa femme en larmes.


 Ils ont rejoint le rivage,le père est extrêmement affaibli, sa santé est fortement déclinante et là sur cette plage qui a été si difficile à atteindre il s'allonge pour un dernier sommeil, après avoir confié à son fils ce trésor: le revolver et l'unique balle dans le barillet ainsi que les jumelles.

 

Le jeune garçon se retrouve seul et désemparé, un homme s'approche sous la menace du révolver mais il est pacifique , le garçon le suit et rejoint la petite famille, non loin de là , qui l'accueille chaleureusement,écrasé de chagrin et de joie il se réfugie dans les bras de la femme.

 

THE END

 

 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Beatle (en visite dans un couvent): John, les nonnes !

 

Oisillon des marais : mon père ce héron.

 

Sexualité (femmes insatisfaites) : les frigides errent.

 

Géomètre (anarchste) : ni Dieu ni mètre.

 

Homosexuel ( amateur d'Amérindiens) : il faut savoir tourner l'Apache.

 

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Il conservera de son périple une grande admiration pour l'oeuvre de Rembrand et Vermeer et on retouve ces influences dans sa maestria à traiter la lumière et l'ombre.

 

On ne connaissait de lui, en France que cette toile, la plus fréquemment éditée " Nighthawks" vision glaciale d'un snack de nuit où les derniers clients sont comme enfermés dans leur solitude. L'oeuvre de Hopper est bien éloignée de la vision obligatoirement optimiste de "l'Américan Way of life" illustré par un Norman Rockwell.

 

Edwrd Hopper a transcrit dans ses toiles des scènes de la vie ordinaire, utilisant la couleur avec virtuosité mais on ressent derrière les apparences une profonde mélancolie, ses personnages sont souvent statiques, semblant attendre on ne sait quoi qui ne vient pas.

 

Visionnage DVD du film de John Hilcoat :"The Road"sorti en 2009 d'une durée de  1h 59 mn.Film post-apocalyptique remarquable, interprété par Wigo Mortensen( le père) Kodi Smit-Mc Phee (le fils) Charlize Theron (l'épouse) nous voici 10 ans après une catastrophe inexpliquée qui a transformé la terre en lieu maudit d'où a disparu toute végétation,où errent quelques rares survivants.

 

Scénario improbable penseront certains mais notre planête n'est pas un sanctuaire inviolable et voici 65 millions d'années une gigantesque météorite de 10 kms de diamètre creusa, en s'écrasant dans le Yucatan à Chicxulub, un cratère de 180 kilomètres de diamètre. Les roches  furent vaporisées créant un énorme nuage de trioxyde de soufre,la température s'éleva à des milliers de degrés entrainant la mort de la majorité des êtres vivants,enflammant la végétation, un tsunami colossal (vague de 300 mètres de haut)submergea les terres et des pluies acides tombant durant des années,détruisirent les rares plantes rescapées et la vie des océans entrainant la disparition des dinosaures maîtres incontestés durant 160 millions d'années, donc ce qui a été peut à nouveau être...

 

Mais on s'éloigne du sujet : d'emblée nous revivons les années prè-catastrophe un couple heureux, le père chirurgien vit tranquille dans une campagne sereine, leur jeune fils s'épanouit sans problème et brutalement le cataclysme survient :une lueur aveuglante , les cultures ont disparu, les animaux n'ont pas survécu, dans les jours suivants il leur faut prendre une décision et partir.

 

La femme est opposée à cette option et disparait,malgré les recherches elle demeure introuvable. Voici le père et le fils marchant sur les routes dévastées en poussant un chariot de super marché contenant leurs maigres trésors. Tous deux marchent, tenaillés par la faim; le danger est partout, des groupes armés rodent et des cas de cannibalisme sont signalés.Le père n'a qu'un seul but:rejoindre la côte,atteindre la mer.

 

Au loin les lueurs d'un incendie rougeoient le ciel, des bruits d'explosions parviennent jusqu'à eux, ils pénètrent dans un ferme abandonnée, y passent la nuit mais au petit matin l'arrivée dans la cour d'hommes armés les obligent à s'enfuir, le père ouvre le barillet de son révolver : il ne lui reste que 2 balles.ils se sont cachés dans un bois mais un des hommes du groupe tente d'enlever son fils, le pére tire, l'homme est tué, son fils blessé, flash back,évocation des jours heureux:sa femme joue une ballade sur le piano du salon.

 

La faim au ventre père et fils poursuivent leur dangereux périple, là haut sur la colline une sorte de manoir et dans la cour une trappe fermée par un cadenas. Le père le brise, ils aboutissent dans une cave emplie de personnes nues qui, il le comprend vite servent de réserve de nourriture,des hommes armés de fusils approchent, fuite éperdue à nouveau.

 

Ils sont à bout de forces après une longue marche et voici une maison abandonnée et ô miracle ils découvrent un abri anti-atomique souterrain regorgeant de provisions de toutes sortes ; redécouverte de saveurs oubliées: soupes, desserts, plats préparés.Il y a même une douche, opérationnelle heureusement ,du shampoing,du savon et c'est avec volupté que père et fils se dépouillent de leurs oripeaux puants et de la crasse emmagasinée depuis des mois.

 

Des bruits suspects proviennent de l'extérieur, dès la nuit venue après avoir fait le plein de denrées, ils fuient à nouveau.Une fois encore iis seront  pourchassés et trouvent asile dans une église en ruine, ils en repartent, la mer est proche ils l'atteignent enfin,à peu de distance de la plage, un cargo échoué, le père se dévêt et nage vers le navire, quand il revient sur la plage il découvre qu'en son absence un homme armé d'un couteau a volé leur précieux chariot,la poursuite s'engage il retrouve le voleur et l'oblige à se déshabiller entièrement et une fois qu'il se retrouve totalement nu il est abandonné à son triste sort.

 

Tous deux repartent et pénètrent dans un ville abandonnée, ils sont guettés depuis une fenêtre, le père est atteint d'une flèche dans la cuisse, il riposte en envoyant une fusée de détresse récupérée dans le cargo, dans l'appartement git l'agresseur,mort, près de lui sa femme en larmes.


 Ils ont rejoint le rivage,le père est extrêmement affaibli, sa santé est fortement déclinante et là sur cette plage qui a été si difficile à atteindre il s'allonge pour un dernier sommeil, après avoir confié à son fils ce trésor: le revolver et l'unique balle dans le barillet ainsi que les jumelles.

 

Le jeune garçon se retrouve seul et désemparé, un homme s'approche sous la menace du révolver mais il est pacifique , le garçon le suit et rejoint la petite famille, non loin de là , qui l'accueille chaleureusement,écrasé de chagrin et de joie il se réfugie dans les bras de la femme.

 

THE END

 

 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Beatle (en visite dans un couvent): John, les nonnes !

 

Oisillon des marais : mon père ce héron.

 

Sexualité (femmes insatisfaites) : les frigides errent.

 

Géomètre (anarchste) : ni Dieu ni mètre.

 

Homosexuel ( amateur d'Amérindiens) : il faut savoir tourner l'Apache.

 

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Il conservera de son périple une grande admiration pour l'oeuvre de Rembrand et Vermeer et on retouve ces influences dans sa maestria à traiter la lumière et l'ombre.

 

On ne connaissait de lui, en France que cette toile, la plus fréquemment éditée " Nighthawks" vision glaciale d'un snack de nuit où les derniers clients sont comme enfermés dans leur solitude. L'oeuvre de Hopper est bien éloignée de la vision obligatoirement optimiste de "l'Américan Way of life" illustré par un Norman Rockwell.

 

Edwrd Hopper a transcrit dans ses toiles des scènes de la vie ordinaire, utilisant la couleur avec virtuosité mais on ressent derrière les apparences une profonde mélancolie, ses personnages sont souvent statiques, semblant attendre on ne sait quoi qui ne vient pas.

 

Visionnage DVD du film de John Hilcoat :"The Road"sorti en 2009 d'une durée de  1h 59 mn.Film post-apocalyptique remarquable, interprété par Wigo Mortensen( le père) Kodi Smit-Mc Phee (le fils) Charlize Theron (l'épouse) nous voici 10 ans après une catastrophe inexpliquée qui a transformé la terre en lieu maudit d'où a disparu toute végétation,où errent quelques rares survivants.

 

Scénario improbable penseront certains mais notre planête n'est pas un sanctuaire inviolable et voici 65 millions d'années une gigantesque météorite de 10 kms de diamètre creusa, en s'écrasant dans le Yucatan à Chicxulub, un cratère de 180 kilomètres de diamètre. Les roches  furent vaporisées créant un énorme nuage de trioxyde de soufre,la température s'éleva à des milliers de degrés entrainant la mort de la majorité des êtres vivants,enflammant la végétation, un tsunami colossal (vague de 300 mètres de haut)submergea les terres et des pluies acides tombant durant des années,détruisirent les rares plantes rescapées et la vie des océans entrainant la disparition des dinosaures maîtres incontestés durant 160 millions d'années, donc ce qui a été peut à nouveau être...

 

Mais on s'éloigne du sujet : d'emblée nous revivons les années prè-catastrophe un couple heureux, le père chirurgien vit tranquille dans une campagne sereine, leur jeune fils s'épanouit sans problème et brutalement le cataclysme survient :une lueur aveuglante , les cultures ont disparu, les animaux n'ont pas survécu, dans les jours suivants il leur faut prendre une décision et partir.

 

La femme est opposée à cette option et disparait,malgré les recherches elle demeure introuvable. Voici le père et le fils marchant sur les routes dévastées en poussant un chariot de super marché contenant leurs maigres trésors. Tous deux marchent, tenaillés par la faim; le danger est partout, des groupes armés rodent et des cas de cannibalisme sont signalés.Le père n'a qu'un seul but:rejoindre la côte,atteindre la mer.

 

Au loin les lueurs d'un incendie rougeoient le ciel, des bruits d'explosions parviennent jusqu'à eux, ils pénètrent dans un ferme abandonnée, y passent la nuit mais au petit matin l'arrivée dans la cour d'hommes armés les obligent à s'enfuir, le père ouvre le barillet de son révolver : il ne lui reste que 2 balles.ils se sont cachés dans un bois mais un des hommes du groupe tente d'enlever son fils, le pére tire, l'homme est tué, son fils blessé, flash back,évocation des jours heureux:sa femme joue une ballade sur le piano du salon.

 

La faim au ventre père et fils poursuivent leur dangereux périple, là haut sur la colline une sorte de manoir et dans la cour une trappe fermée par un cadenas. Le père le brise, ils aboutissent dans une cave emplie de personnes nues qui, il le comprend vite servent de réserve de nourriture,des hommes armés de fusils approchent, fuite éperdue à nouveau.

 

Ils sont à bout de forces après une longue marche et voici une maison abandonnée et ô miracle ils découvrent un abri anti-atomique souterrain regorgeant de provisions de toutes sortes ; redécouverte de saveurs oubliées: soupes, desserts, plats préparés.Il y a même une douche, opérationnelle heureusement ,du shampoing,du savon et c'est avec volupté que père et fils se dépouillent de leurs oripeaux puants et de la crasse emmagasinée depuis des mois.

 

Des bruits suspects proviennent de l'extérieur, dès la nuit venue après avoir fait le plein de denrées, ils fuient à nouveau.Une fois encore iis seront  pourchassés et trouvent asile dans une église en ruine, ils en repartent, la mer est proche ils l'atteignent enfin,à peu de distance de la plage, un cargo échoué, le père se dévêt et nage vers le navire, quand il revient sur la plage il découvre qu'en son absence un homme armé d'un couteau a volé leur précieux chariot,la poursuite s'engage il retrouve le voleur et l'oblige à se déshabiller entièrement et une fois qu'il se retrouve totalement nu il est abandonné à son triste sort.

 

Tous deux repartent et pénètrent dans un ville abandonnée, ils sont guettés depuis une fenêtre, le père est atteint d'une flèche dans la cuisse, il riposte en envoyant une fusée de détresse récupérée dans le cargo, dans l'appartement git l'agresseur,mort, près de lui sa femme en larmes.


 Ils ont rejoint le rivage,le père est extrêmement affaibli, sa santé est fortement déclinante et là sur cette plage qui a été si difficile à atteindre il s'allonge pour un dernier sommeil, après avoir confié à son fils ce trésor: le revolver et l'unique balle dans le barillet ainsi que les jumelles.

 

Le jeune garçon se retrouve seul et désemparé, un homme s'approche sous la menace du révolver mais il est pacifique , le garçon le suit et rejoint la petite famille, non loin de là , qui l'accueille chaleureusement,écrasé de chagrin et de joie il se réfugie dans les bras de la femme.

 

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Beatle (en visite dans un couvent): John, les nonnes !

 

Oisillon des marais : mon père ce héron.

 

Sexualité (femmes insatisfaites) : les frigides errent.

 

Géomètre (anarchste) : ni Dieu ni mètre.

 

Homosexuel ( amateur d'Amérindiens) : il faut savoir tourner l'Apache.

 

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 16:12

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Salut à vous visiteuses et visiteurs uniques, ci-dessus une toile du grand peintre Américain Edward Hopper, souvenir de la splendide exposition qui lui été consacré au Grand Palais d'Octobre 2012 à Janvier 2013.Ce grand artiste était un Francophile convaincu, son séjour à Paris de 1906 à 1910 l'a formé artistiquement et il a acquis une culture pleinement Européenne. Il demeurait rue De Lille,à peu de distance du Louvre et c'est certainement en ces lieux qu'il s'est formé esthétiquement, les voyages qui le menèrent aux Pays Bas, en Grande-Bretagne, en Espagne et en Allemagne ont contribué aussi à approfondir ses connaissances picturales.

 

Il conservera de son périple une grande admiration pour l'oeuvre de Rembrand et Vermeer et on retouve ces influences dans sa maestria à traiter la lumière et l'ombre.

 

On ne connaissait de lui, en France que cette toile, la plus fréquemment éditée " Nighthawks" vision glaciale d'un snack de nuit où les derniers clients sont comme enfermés dans leur solitude. L'oeuvre de Hopper est bien éloignée de la vision obligatoirement optimiste de "l'Américan Way of life" illustré par un Norman Rockwell.

 

Edwrd Hopper a transcrit dans ses toiles des scènes de la vie ordinaire, utilisant la couleur avec virtuosité mais on ressent derrière les apparences une profonde mélancolie, ses personnages sont souvent statiques, semblant attendre on ne sait quoi qui ne vient pas.

 

Visionnage DVD du film de John Hilcoat :"The Road"sorti en 2009 d'une durée de  1h 59 mn.Film post-apocalyptique remarquable, interprété par Wigo Mortensen( le père) Kodi Smit-Mc Phee (le fils) Charlize Theron (l'épouse) nous voici 10 ans après une catastrophe inexpliquée qui a transformé la terre en lieu maudit d'où a disparu toute végétation,où errent quelques rares survivants.

 

Scénario improbable penseront certains mais notre planête n'est pas un sanctuaire inviolable et voici 65 millions d'années une gigantesque météorite de 10 kms de diamètre creusa, en s'écrasant dans le Yucatan à Chicxulub, un cratère de 180 kilomètres de diamètre. Les roches  furent vaporisées créant un énorme nuage de trioxyde de soufre,la température s'éleva à des milliers de degrés entrainant la mort de la majorité des êtres vivants,enflammant la végétation, un tsunami colossal (vague de 300 mètres de haut)submergea les terres et des pluies acides tombant durant des années,détruisirent les rares plantes rescapées et la vie des océans entrainant la disparition des dinosaures maîtres incontestés durant 160 millions d'années, donc ce qui a été peut à nouveau être...

 

Mais on s'éloigne du sujet : d'emblée nous revivons les années prè-catastrophe un couple heureux, le père chirurgien vit tranquille dans une campagne sereine, leur jeune fils s'épanouit sans problème et brutalement le cataclysme survient :une lueur aveuglante , les cultures ont disparu, les animaux n'ont pas survécu, dans les jours suivants il leur faut prendre une décision et partir.

 

La femme est opposée à cette option et disparait,malgré les recherches elle demeure introuvable. Voici le père et le fils marchant sur les routes dévastées en poussant un chariot de super marché contenant leurs maigres trésors. Tous deux marchent, tenaillés par la faim; le danger est partout, des groupes armés rodent et des cas de cannibalisme sont signalés.Le père n'a qu'un seul but:rejoindre la côte,atteindre la mer.

 

Au loin les lueurs d'un incendie rougeoient le ciel, des bruits d'explosions parviennent jusqu'à eux, ils pénètrent dans un ferme abandonnée, y passent la nuit mais au petit matin l'arrivée dans la cour d'hommes armés les obligent à s'enfuir, le père ouvre le barillet de son révolver : il ne lui reste que 2 balles.ils se sont cachés dans un bois mais un des hommes du groupe tente d'enlever son fils, le pére tire, l'homme est tué, son fils blessé, flash back,évocation des jours heureux:sa femme joue une ballade sur le piano du salon.

 

La faim au ventre père et fils poursuivent leur dangereux périple, là haut sur la colline une sorte de manoir et dans la cour une trappe fermée par un cadenas. Le père le brise, ils aboutissent dans une cave emplie de personnes nues qui, il le comprend vite servent de réserve de nourriture,des hommes armés de fusils approchent, fuite éperdue à nouveau.

 

Ils sont à bout de forces après une longue marche et voici une maison abandonnée et ô miracle ils découvrent un abri anti-atomique souterrain regorgeant de provisions de toutes sortes ; redécouverte de saveurs oubliées: soupes, desserts, plats préparés.Il y a même une douche, opérationnelle heureusement ,du shampoing,du savon et c'est avec volupté que père et fils se dépouillent de leurs oripeaux puants et de la crasse emmagasinée depuis des mois.

 

Des bruits suspects proviennent de l'extérieur, dès la nuit venue après avoir fait le plein de denrées, ils fuient à nouveau.Une fois encore iis seront  pourchassés et trouvent asile dans une église en ruine, ils en repartent, la mer est proche ils l'atteignent enfin,à peu de distance de la plage, un cargo échoué, le père se dévêt et nage vers le navire, quand il revient sur la plage il découvre qu'en son absence un homme armé d'un couteau a volé leur précieux chariot,la poursuite s'engage il retrouve le voleur et l'oblige à se déshabiller entièrement et une fois qu'il se retrouve totalement nu il est abandonné à son triste sort.

 

Tous deux repartent et pénètrent dans un ville abandonnée, ils sont guettés depuis une fenêtre, le père est atteint d'une flèche dans la cuisse, il riposte en envoyant une fusée de détresse récupérée dans le cargo, dans l'appartement git l'agresseur,mort, près de lui sa femme en larmes.


 Ils ont rejoint le rivage,le père est extrêmement affaibli, sa santé est fortement déclinante et là sur cette plage qui a été si difficile à atteindre il s'allonge pour un dernier sommeil, après avoir confié à son fils ce trésor: le revolver et l'unique balle dans le barillet ainsi que les jumelles.

 

Le jeune garçon se retrouve seul et désemparé, un homme s'approche sous la menace du révolver mais il est pacifique , le garçon le suit et rejoint la petite famille, non loin de là , qui l'accueille chaleureusement,écrasé de chagrin et de joie il se réfugie dans les bras de la femme.

 

THE END

 

 

PETITS PROPOS SANS IMPORTANCE


 

Beatle (en visite dans un couvent): John, les nonnes !

 

Oisillon des marais : mon père ce héron.

 

Sexualité (femmes insatisfaites) : les frigides errent.

 

Géomètre (anarchste) : ni Dieu ni mètre.

 

Homosexuel ( amateur d'Amérindiens) : il faut savoir tourner l'Apache.

 

Aérostier (originaire de RDA) : c'est l'Allemagne de lest.

 

 

 

MERCI DE ME FAIRE PART DE VOS REMARQUES

 


 


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